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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 13:14

Cher Jean-François

Mon sens du devoir me conduit à t’adresser cet appel et à souhaiter que tu le diffuses largement.

Cordialement

Yoland

L'appel du 26 juin des amis de Sarkozy

L’Aide au retour.

 

Depuis plus d’un an maintenant l’ingratitude populaire, comme elle le fit naguère pour Churchill ou de Gaulle, a renvoyé dans son humble foyer l’ancien hôte de l’Elysée. Sinistre bévue. Et on mesure chaque jour un peu plus le vide laissé par Nicolas Sarkozy et le regret que nous ressentons de devoir nous passer de ses insignes qualités :

La hauteur de ses vues, l’élévation de sa pensée, l’étendue de sa culture, le raffinement de son langage, la dignité de son maintien, la simplicité de sa mise, la sévérité de ses mœurs, la droiture de sa conduite, la rectitude de son parcours, l’élégance de son comportement, l’égalité de son humeur, la grâce de sa gestuelle, la douceur de sa parole, le respect de ses interlocuteurs, son sens de la mesure, son attention à autrui, son respect des petits, sa méfiance pour les nantis, sa fermeté face aux puissants, sa mansuétude pour les déshérités, son intransigeance morale, son mépris de l’argent, son refus de la brigue et de l’intrigue, son horreur de la courtisanerie, son indifférence à la flatterie, son rejet de l’esprit de clan, en résumé, sa grandeur d’âme

 

Nous le savons la modestie naturelle de cet être d’exception l’a souvent amené à une trop sage réserve et à négliger les encouragements de ses amis ou les impératifs de sa carrière. Et cependant, en tant que vigilants gardiens des valeurs qu’il incarna avec éclat dans ces années qu’il consacra au service désintéressé de la nation, et notamment lors de son fantastique quinquennat, nous le clamons haut et fort: « Putain, Sarko reviens, t’es le meilleur ! »

 

Isabelle Balkany, Patrick Balkany, Rachida Dati, Christian Estrosi, Claude Guéant, Henri Guaino, Brice Hortefeux, Nadine Morano, Valérie Rosso Debord…

 

Pour compléter :  Géhèm célèbre la fête de la violette et le Sarkothon (avec une Morano vendant sa jarretière aux enchères)

Avec Estrosi, dit le motodidacte, les vieux téléspectateurs auront reconnu Denise Fabre.

Avec Estrosi, dit le motodidacte, les vieux téléspectateurs auront reconnu Denise Fabre.

Le garnd lecteur de Zadig & Voltaire va aboyer de nouveau dans l'hémicycle.

Le garnd lecteur de Zadig & Voltaire va aboyer de nouveau dans l'hémicycle.

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 19:07

 

« Moi, j’vais vous dire une chose, Laurence Ferrari,  moi, j’fais totalement confiance à la  Justice » N. Sarkozy


 

misenexamen 00La mise en examen de Nicolas Sarkozy ne doit pas faire oublier le principe suprême de la présomption d’innocence. Principe qu’il a lui, largement violé, au moment de l’affaire Clearsteam. Que cette mesure soit contestée par ses avocats est tout-à-fait normal. Que Guano, pétant un câble, pousse des cris de haine à l’encontre d’un des trois juges, est plus que déplacé, grotesque !

 


 

La présomption d’innocence dont peut se prévaloir l’ex-président de la République, après sa mise en examen pour abus de faiblesse de la femme la plus riche de France, il ne l’a, lui, jamais respectée. "Au bout de deux ans d'enquête, deux juges indépendants ont estimé que les coupables devaient être traduits devant un tribunal correctionnel", a-t-il lâché, le 23 septembre 2009, à propos de D. de Villepin inculpé dans l’affaire Clearsteam.  Ire des avocats : "M. Sarkozy affirmait de New York, devant toute la France, que M. de Villepin était coupable, car il était traduit devant un tribunal". "C'est cela le respect de votre tribunal, de votre parquet? C'est cela le spectacle que le président donne à la France de notre justice ?", avait lancé Me Olivier Metzner. "C'est une atteinte scandaleuse aux principes fondamentaux", avait appuyé son confrère, Me Henri Leclerc. Sarkozy récidiviste, puisqu’il avait qualifié Yvan Colonna d’assassin avant son procès.


Le respect du secret de l’instruction n’a préoccupé l’ex-président que quand ce n’était pas lui qui le violait. Au début de l’affaire Bettencourt, devenu, grâce à lui faut-il le rappeler*, affaire Woerth, alors que, dans un entretien à Mediapart la comptable de la milliardaire faisait déjà état de ses visites, il avait mobilisé Courroye – dit de transmission – pour faire quasiment interpeler la dame et la soumettre à un interrogatoire policier à la légalité des plus douteuses. Interrogatoire dont le contenu, illustré par des photocopies des PV, apparaissait sur Le Figaro du lendemain. Le dévoué Etienne Mougeotte les aurait récupérés à l’Elysée et avait titré mensongèrement que Sarkozy était en dehors de l’affaire.


El Païs compare les amis de Sarkozy à ceux de Berlusconi

misenexamen 001

Après la mise en examen de Sarkozy, El Païs, grand quotidien espagnol, juge que la réaction de la droite française rappelle celle de la droite italienne, mettant en cause les accusation et condamnations infligées à leur leader, Silvio Berlusconi : les ibères sont rudes ! (« La reacción de la derecha gala recuerda mucho la actitud que emplean los conservadores italianos cuando valoran las imputaciones y condenas infligidas a su líder, Silvio Berlusconi. Unos han acusado al juez de actuar por motivos políticos, otros de encarnizamiento contra Sarkozy, y no ha faltado quien, como el exredactor de los discursos del expresidente, Henri Guaino, acusó al juez de haber deshonrado a la justicia. »).

 

 

Guano est un habitué du pétage de plomb, de durite ou de câble. Mais là il dépasse tout. Le juge Gentil « a déshonoré un homme, les institutions, la justice ». Il ne recule devant rien dans l’outrance : "Ce serait risible si cela ne salissait pas l'honneur d'un homme qui, ayant été président de la République, entraîne dans cette salissure la France et la République elle-même".

Même la très modérée Union syndicale des magistrats, USM, a trouvé que l’ex-nègre de Sarkozy poussait le bouchon au-delà des limites de la décence. Son Président a même qualifié les propos de Guano d’abjects et l’a affronté sur Canal +.


Mais, pire, Laurent Wauquiez, a mis en question l’indépendance des juges et affirmé qu’il ne croyait pas au hasard du calendrier ; quand Guano se contente d’insulter, lui met en doute l’indépendance des trois juges d’instruction en affirmant qu’il y a eu une utilisation de la justice à des fins politiques, par cette mise en examen la même semaine que la démission de Cahuzac. Wauquiez est au niveau de Lionnel Luca qui en rajoute une louche, en dénonçant un complot des juges et des socialistes pour favoriser la réélection de François Hollande en 2017 !


Inutile de rappeler que, s’agissant de Cahuzac, c’est la décision d’un procureur, François Molins, nommé à ce poste par la droite, qui a décidé de transformer l’enquête préliminaire en information judiciaire, confiée à deux juges d’instruction. Et que c’est du temps de la droite, après que le procureur Courroye a complétement pourri le travail de la juge Isabelle Prévost-Desprez chargé de l’affaire Bettencourt, que le dossier a été dépaysé à Bordeaux. Inutile de rappeler que les juges sont totalement indépendants, c’est une notion que la droite n’a jamais vraiment comprise.


En voulant salir la Justice, Guano mais surtout Wauquiez se déshonorent et se salissent eux-mêmes. Au risque de nuire au travail des avocats : en mettant la chambre d’instruction sous pression, ils risquent de froisser ses membres qui ne peuvent que se sentir visés, comme leurs collègues, par ces calomnies. Sarkozy, dans cette affaire, comme dans les autres (Karachi, Khadafi, Tapie-Lagarde…) bénéficie de la présomption d’innocence. Les réactions indignes et surtout exagérées de ses amis risquent d’entacher cette présomption de pires soupçons.


 

* Olivier Metzner, avocat de la fille de L. Bettencourt, avait obtenu de Courroye, procureur chargé de l’affaire Bettencourt, purement familiale au départ, l’assurance qu’il resterait neutre. Mais Sarkozy ayant reçu la mère à l’Elysée, Courroye veut du coup enterrer l’affaire au détriment de la fille. Comme par miracle les bandes enregistrées par la majordome surgissent sur Mediapart et, ce que l’on oublie, aussi sur Le Point. Le nom et le rôle de Woerth apparaissent alors. Sarkozy, par son intervention, a réussi l’exploit de faire d’une affaire privée une affaire politique dans laquelle il est mis en cause. Chapeau l’artiste.

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 14:47

racisme-foot-strasbourg

Image reçue par courriel, avec en commentaire : 

 

"HISTOIRE ALSACIENNE

Le Racing Club de Strasbourg est réputé être un "club marqué par une forte identité régionale".

Celui-ci dispose en effet d'un centre de formation" (depuis 1972) dont le budget pour la saison 2010-2011 s’élève à 2,5 millions d'Euros (financé pour 1,5 million d'Euros par les Collectivités Territoriales et pour 1 million par l'entreprise RC Strasbourg).

Qui ose maintenant encore croire que le climat de l'Alsace est plutôt rude et manque cruellement d'ensoleillement ?

A envoyer à tous vos amis alsaciens et ceux qui aiment l'Alsace pour son authenticité, afin qu'ils puissent s'identifier à l'équipe qu'ils se feront un plaisir de soutenir durant cette nouvelle saison 2011-2012.

Un plaisir à consommer sans modération, cela va de soi. Sérieux : la photo n'est pas truquée Vive l'Alsace ! Et vive ses authentiques représentants !"

 

« La photo n'est pas truquée » est-il affirmé. Elle est en tout cas signée de Karim Chergui qui est, de fait, un photographe quasi attitré du RC Strasbourg. On peut donc admettre qu’elle est authentique. Que montre-t-elle ? Dix sportifs noirs qui, vu leurs gabarits et le fait que l’un d’entre eux porte une tenue différente des autres, sont sans doute des fouteux. Ils sont dix donc ce n’est pas une équipe complète. Ils sont implicitement censés être issus du centre de formation du RC Strasbourg (les informations sur le budget de ce centre sont tirées de wikipedia). Or ce centre ne compte pas que dix membres, puisqu’il recrute de 15 à 21 ans. Donc cette photo, (non datée, non légendée) toute non truquée qu’elle puisse être, illustre un pur et délibéré mensonge : elle n’est aucunement représentative du centre de formation. En revanche, elle est parfaitement représentative du racisme de ceux qui ont fabriqué ce message et de ceux qui le relaient.

 

racisme-foot-strasbourg2 

Sans faire de grande recherche, on tombe sur cette photo de membres de ce centre – les 15 ans – en visite à Barcelone.

Comme les maillots sont mélangés, peut-être échangés, difficile de distinguer nos jeunes strasbourgeois des jeunes barcelonais qui les accueillent. Mais, n’en déplaise à nos racistes, ils ne sont pas, comme aurait dit Finkielkraut, black, black, black ! La composition de l’équipe du RC Strasbourg – équipe qui a sombré en CFA2, en principe formée d’amateurs – en 2012, semble assez blancs-blacks-beurs.

racisme-foot-strasbourg-joueurs2012

 

Les remarques climatiques sont niaises : l’anonyme auteur ignore que Strasbourg est, en moyenne, un peu plus ensoleillé que Paris (et bien sûr Brest). Certes l’hiver y est rigoureux, mais cela traduit une vision à la Guaino d’un homme africain, non seulement pas entré dans l’histoire, mais ne pouvant survivre aux rudes hivers alsaciens. Nos braves généraux de la Grande Guerre ne se posaient pas de telles questions quand il s’agissait d’envoyer les braves tirailleurs sénégalais (« y ‘a bon Banania ») dans les tranchées boueuses. Et nos lointains ancêtres venaient d’Afrique ! Quant à cette forte « identité régionale », elle inciterait à franchir sinistrement le fameux point Godwin : s’agirait-il de ne recruter que des grands brachycéphales, blonds, aux yeux clairs, parlant alsacien ? Est-ce que Adel Benchemane, qui vient de Bartenheim, ou Vauvenargues Kéhi, formé au club, participent à l’identité régionale du club de CFA 2 ? Et, ce qui est étonnant de la part de pseudo-républicains qui dénoncent de prétendus communautarismes, est cette exaltation d’une identité régionale.

 

Que Robert X, à l’esprit aussi lourd que sa démarche est pataude, s’esclaffe à grand bruit sur la peu bas-poitevine composition de l’équipe de foute de Luçon (en CFA et non CFA2, elle) n’étonne pas de ce beauf à l’ancienne. Mais là, il ne s’agit pas de propos de zinc, mais d’un racisme aussi gratuit que prosélyte. Et pas l’œuvre d’un personnage qui illustre le fameux adage « le cerveau ne s’use que si l’on ne s’en sert pas ». Les attardés du bulbe, qui ont fabriqué cela, ne sont pas des piliers de bistrot – ou, tout au moins pas à plein temps – puisqu’ils sont à l’affût sur la toile d’images à détourner et d’articles à charcuter pour en extraire des citations aux rapprochements percutants. Et ces petits artisans d’un racisme souterrain sont complaisamment relayés par des bacs+3 ou 4, qui ont mis leurs capacités intellectuelles en berne !

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22 décembre 2007 6 22 /12 /décembre /2007 22:53

Jour après jour, trait après trait – bien sûr l’épisode Mickey conforte ce point de vue – l’impression que le président qu’a élu une majorité de français n’est qu’un gosse capricieux (menteur, m’as-tu-vu, sans gêne, vulgaire etc.) se conforte.

Yasmina Reda (à ne pas confondre avec la girouette qui attaque la venue du pitre libyen un jour, pour la justifier le lendemain), l’écrivaine qui a suivi le nabot tout au long de sa campagne, nous rappelait :

 «N’avait-il pas dit, je partirai en retraite quelques jours, me reposer, méditer. Il faut du calme et de la sérénité pour prendre la distance nécessaire. Si proche des moines et des cathédrales, ne s’était-il pas enorgueilli de quelque subite transfiguration ? N’avait-il pas dit, j’irai dans une abbaye, ou dans la solitude d’une maison amie, réfléchir à l’ampleur de la tâche ? C’est dévorant des langoustes en famille sur un yacht de soixante mètres, au large de Malte, qu’on le trouvera » au lendemain de son élection.

Yasmina Reda

 

Le gamin capricieux  dans toute sa splendeur se révèle lors d’un conseil des ministres-gadget en Corse :

 

Langouste.jpg

Caprices, ce n'est pas fini

Sarkozy n’a jamais été un gastronome, mais il a des caprices. La veille du conseil des ministres qu’il a récemment délocalisé le 31 octobre dernier à Ajaccio, il est pris d’une envie de langouste digne d’une femme prégnante. Il lui faut des langoustes, beaucoup de langoustes pour lui, pour ses ministres et pour ses grands vassaux corses. Les services de la présidence sont chargés de mettre en œuvre ce grand dessin. Ils choisissent un restaurant, Chez Jeanjean, près du port. Mais Jeanjean a pris des vacances et se trouve à Paris. On lui enjoint de renter dare-dare. Très vite, une difficulté apparaît. Elle est de taille : la pêche à la langouste est interdite en Méditerranée en cette saison. Le président balaie cette objection d’un revers de main : il trépigne, il veut des langoustes, point barre. Les affaires maritimes accordent alors une dérogation à quelques pêcheurs pour leur permettre d’enfreindre la réglementation en toute sécurité. Mais le monde est plein de jaloux. On ne sait pas exactement qui a balancé, peut-être un notable furieux de n’avoir pas été invité à cette langouste-party, mais l’affaire s’ébruite. Elle menace de virer au scandale écolo. L’Elysée prend les devants. Sans se démonter, il publie une mise au point affirmant que les langoustes venaient de Brest!

François Caviglioli  (confidentielles Nel Obs)

 

On atteint les sommets du ridicule égocentré dans cette déclaration à Rome du tout neuf « chanoine du Latran » devant un parterre de cardinaux et séminaristes ; bientôt nous allons apprendre que sa vocation présidentielle répondait à un appel divin :


Moi-même

"On n'est pas prêtre à moitié. Croyez bien qu'on n'est pas non plus président à moitié. Je comprends les sacrifices que vous faites pour répondre à votre vocation parce que moi-même, je sais ceux que j'ai faits pour réaliser la mienne!"

 papesarko.jpg

Ce discours du Latran est, plus gravement, un exemple de contre-vérités soufflées par des faussaires de l’histoire, Guaino et Gallo. Ainsi apprend-on que les « racines » (ça sent déjà un « la terre ne ment pas ») de la France sont essentiellement chrétiennes – un christianisme d’ailleurs confondu avec le catholicisme – oubliant Voltaire, Diderot, et quelques autres, en bref tout ce qui a été baptisé « siècle des lumières » qui n’a pas beaucoup éclairé ni lui-même, ni ses nègres.

 

Plus fort encore, la loi de 1905, dont le maître d’œuvre, Aristide Briand, a voulu faire (et a fait) une loi de concorde a été violemment rejetée par le pape de l’époque, l’ineffable Pie X, sauf erreur, dont vous pouvez lire et relire des extraits de son catéchisme plus bas, appuyé par le brûlot qu’était La Croix de l’époque qui suintait l’antisémitisme. Gallo – ex Chevénementiste forcené et logorrhéïque écrivain, pseudo historien -  lui fait évoquer les « souffrances de l’église », alors que Clemenceau, surnommé pourtant le 1er flic de France, avait clairement indiqué que l’inventaire des biens des églises ne valait pas mort d’homme ! Rappelons aussi que la loi de 1905 fut complétée par la loi du 2 janvier 1907, dont le but était, selon Briand son rapporteur, « de faire une législation telle que, quoi que fasse Rome, il lui soit impossible de sortir de la légalité », de « mettre l’Eglise catholique dans l’impossibilité, même quand elle le désirerait d’une volonté tenace, de sortir de la légalité ». De quel côté est la volonté d’apaisement ?

Cela tourne au délire calotin – dans lequel d’ailleurs beaucoup de catholiques ne se retouveront pas – quand notre chanoine affirme, avec tout l’aplomb qui le caractérise : « La désaffection progressive des paroisses rurales, le désert spirituel des banlieues, la disparition des patronages, la pénurie de prêtres, n’ont pas rendu les Français plus heureux.» (Qu’en a pensé Bigard, au fait l’anneau papal n’était pas trop gras après qu’il l’a eu baisé ?)

Quant à sa conception de la laïcité – soufflée par des plumes Républicaines -  une « laïcité positive » placée sur le même plan que le « baptême de Clovis », avec une « morale laïque » soupçonnée de dérive fanatique, elle est totalement étrangère à la laïcité qui n’a pas besoin d’adjectifs (voir les passages quasi délirants comparant le prête et le pasteur à l’instituteur, voir aussi plus haut Moi-même).

  Sur le même sujet voir : http://jeanbauberotlaicite.blogspirit.com/archive/2007/12/22/le-chanoine-sarkozy-et-la-religion-civile-a-la-francaise.html

Pour compléter :

Nicolas Sarkozy a montré qu'il voulait sortir des protocoles. Il est en train de désacraliser la fonction présidentielle. Je ne suis pas sûr que les Français en aient vraiment envie et je ne suis pas sûr qu'il puisse revenir en arrière. Sa communication risque d'avoir des limites quand il va tomber sur des sujets qui ne relèvent plus d'un livre d'images François Jost

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-992628@51-984702,0.html

 

 

C’est un homme intelligent qui réfléchit peu. L’idée est de se montrer beaucoup : «Regardez-moi, je travaille pour vous et je fais énormement de choses pour vous.» On a été légèrement imprudent en l’élisant mais en France on a toujours le sentiment qu’on peut à un moment opposer un refus brutal. Pour l’instant, il distrait les soirées d’hiver. Claude Chabrol

http://www.liberation.fr/actualite/politiques/298974.FR.php

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