Cher Jean-François
Mon sens du devoir me conduit à t’adresser cet appel et à souhaiter que tu le diffuses largement.
Cordialement
Yoland
L’Aide au retour.
Depuis plus d’un an maintenant l’ingratitude populaire, comme elle le fit naguère pour Churchill ou de Gaulle, a renvoyé dans son humble foyer l’ancien hôte de l’Elysée. Sinistre bévue. Et on mesure chaque jour un peu plus le vide laissé par Nicolas Sarkozy et le regret que nous ressentons de devoir nous passer de ses insignes qualités :
La hauteur de ses vues, l’élévation de sa pensée, l’étendue de sa culture, le raffinement de son langage, la dignité de son maintien, la simplicité de sa mise, la sévérité de ses mœurs, la droiture de sa conduite, la rectitude de son parcours, l’élégance de son comportement, l’égalité de son humeur, la grâce de sa gestuelle, la douceur de sa parole, le respect de ses interlocuteurs, son sens de la mesure, son attention à autrui, son respect des petits, sa méfiance pour les nantis, sa fermeté face aux puissants, sa mansuétude pour les déshérités, son intransigeance morale, son mépris de l’argent, son refus de la brigue et de l’intrigue, son horreur de la courtisanerie, son indifférence à la flatterie, son rejet de l’esprit de clan, en résumé, sa grandeur d’âme
Nous le savons la modestie naturelle de cet être d’exception l’a souvent amené à une trop sage réserve et à négliger les encouragements de ses amis ou les impératifs de sa carrière. Et cependant, en tant que vigilants gardiens des valeurs qu’il incarna avec éclat dans ces années qu’il consacra au service désintéressé de la nation, et notamment lors de son fantastique quinquennat, nous le clamons haut et fort: « Putain, Sarko reviens, t’es le meilleur ! »
Isabelle Balkany, Patrick Balkany, Rachida Dati, Christian Estrosi, Claude Guéant, Henri Guaino, Brice Hortefeux, Nadine Morano, Valérie Rosso Debord…
Pour compléter : Géhèm célèbre la fête de la violette et le Sarkothon (avec une Morano vendant sa jarretière aux enchères)
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