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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 18:09
SIVENS ET LES "FOUTEURS DE MERDE"SIVENS ET LES "FOUTEURS DE MERDE"
Copies d'écransCopies d'écrans

Copies d'écrans

Mise à jour 03/06/2017

Mélenchon, jamais à court d'une agression contre le PS et ses membres, instrumentalise la mort de Rémi Fraisse, accusant Cazeneuve de s'être occupé de son assassinat. Dans l'odieux haineux il concurrence la dame Le Pen !

Un rappel des faits n'est donc pas inutile.

La mort d’un jeune manifestant est un drame – une jeune vie arrachée, promesse retirée, écrit Christiane Taubira. Il appartiendra à l’enquête de dire la cause exacte et d’essayer de déterminer les responsabilités. Mais il est étonnant que Bové ou Duflot tiennent, d’emblée, des propos outranciers. D’autant que Bové, agressé lui-même par ceux qu’une véritable écolo a nommé les « fouteurs de merde », ne pouvait ignorer le contexte, fort bien décrit par Antoine Ly.

Il y a eu en fait, Ly le montre, dans un reportage pour la Nouvelle édition de Canal +, deux manifestations, ou plutôt une vraie manifestation et un commando de voyous. Au départ, donc, un rassemblement bon enfant, un peu clairsemé, mais le site est immense et des forces de l’ordre gentiment taquinées mais impassibles.

 

Tout bascule quand apparait une bande de voyous masqués ou cagoulés qui s’en prennent d’ailleurs d’abord aux journalistes, avant d’agresser les gendarmes mobiles. Parler comme le fait Schneidermann de la brutalité apparemment très particulière dont font preuve les gendarmes dans l'occupation de Sivens est pour le moins abusif. Outre que les journalistes – dont aucun n’était présent au moment du drame, car chassés par les voyous – parlent de CRS, le but était bien de se les payer, les robocops.

 

Si l’on en croit un journaliste de Libération, qui commente une vidéo prise et montée par un jeune activiste, "Des cocktails molotov lancés par les activistes atteignent leur cible (à 7'10" sur la vidéo) et la situation dégénère rapidement. Les CRS répondent avec des jets de grenades assourdissantes, qui explosent au contact du sol ou des manifestants". "Le combat n'est pas équitable", ajoute-t-il : c’est vrai que des CRS ou gendarmes mobiles qui ripostent quand on leur balance des cocktails molotov, ce n’est pas de jeu !

La vidéo comporte même un échange surréaliste où un activiste déclare : «On n'est pas là pour vous faire du tort. Mais ne nous tuez pas. Que le préfet voie qu’il y a ici des gens qui sont prêts à se battre, et à se battre pacifiquement». Le côté pacifique ne sautait pas aux yeux. D’autant que le récit se conclut par « Un gendarme venait de prendre feu (à 22'07") sous les hourras d’un clown hilare. »

 

Sauf erreur, aucun des participants à la manif, les vrais, n’a été victime d’une quelconque charge de gendarmes mobiles ou CRS et celui qui, moqueur, demandait à un vis-à-vis en uniforme de ne pas le frapper trop fort, a dû repartir sans bosse. L’agression qu’ont subie les forces de l’ordre ne justifie absolument pas une éventuelle bavure, telle qu’un tir tendu de grenades. Mais les faits sont à remettre dans leur contexte. Et Duflot et Bové perdent toute crédibilité par leurs propos déplacés.

03/06/2017

Mélenchon instrumentalise la mort de Rémi Fraisse

Mélenchon qui, depuis le soir du 1er tour, ne s'en prend plus qu'aux socialistes, dénonce Bernard Cazeneuve comme "le gars qui s'est occupé de l'assassinat de Remi Fraisse" !

L'occasion pour Claude Askolovitch, chroniqueur hebdomadaire de l'excellent "28 minutes" sur Arte, de faire un billet, brillant comme à son habitude, mais quelque peu teinté de sophisme.

Askolovitch rappelle que la Justice - saisie - et les instances européennes ont condamné un projet surdimensionné.

Mais il use de cette décision de justice pour condamner l'intransigeance d'un 1er ministre, Valls, droit dans ses bottes. Or les faits, tels que décrit par Antoine Ly sont assez différents.

Les VRAIS manifestants écologiques avaient négocié avec les pouvoirs publics ; les forces de l'ordre étaient là pour protéger le matériel de chantier. A priori, aucun affrontement n'était prévisible. Et ce sont bien ceux qu'un écologiste qualifie de "fouteurs de merde" qui vont lancer l'offensive contre les forces de l'ordre.

Si on reprend le raisonnement d'Askolovitch, cette violence délibérée d'un véritable commando, qui va provoquer l'enchaînement des faits qui aboutira au jet de grenade offensive fatal à un innocent, est d'autant plus gratuite que la justice allait plus efficacement que leur agressivité donner raison aux vrais écologistes.

 

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 17:02
Retour tardif sur les élections européennes
Retour tardif sur les élections européennes

Le grand vainqueur hélas est le F-Haine, bien sûr. Mais, à gauche, le grand perdant n’est pas le PS mais les Verts. Et le Front de gauche a complétement perdu son pari, dans une élection pourtant, a priori, favorable.

 

"On aimerait doubler notre score, passer la barre des 10%, au moins atteindre le score que j'ai réalisé à l'occasion de l'élection présidentielle de 2012, à savoir 11,10%", voilà ce qu’affirmait Mélenchon avant l’élection. Au bout du compte, stagnation en % et même perte d’un siège. Plus à gauche encore, si Lutte ouvrière est stable dans un score de témoignage (1,20 %), sa rivale trotskyste, la Ligue communiste, rebaptisée NPA, a disparu des écrans radars, alors qu’elle frisait les 5 % en 2009. Tout additionné, l’extrême-gauche ne fait pas 8,5 %. Guère plus du tiers du F-Haine.

Si le PS perd encore des plumes, le grand perdant à gauche est bien Europe Ecologie les Verts qui, pratiquement divise son score par deux et perd plus de la moitié des sièges, alors que le PS n’en perd qu’un. En 2009, il faisait pratiquement jeu égal avec le PS.

L’alliance centriste, dans un scrutin qui aurait dû le favoriser puisque non laminée par le scrutin majoritaire, fait à peine mieux que le MODEM seul en 2009.

L’UMP peut juste se réjouir d’être restée largement au-dessus du PS et d’avoir limité la casse, d’autant que peu après éclatait l’affaire Bygmalion qui aurait pu entraîner une totale déconfiture.

Quant au F-Haine, on peut tenter de relativiser son poids, compte tenu de l’abstention – en nombre de voix il ne pèse que 10 % des inscrits – considérer que ce type d’élections dont les enjeux sont peu perceptibles est propice au vote protestataire, il n’empêche qu’après la percée des municipales, il s’installe. Et les fausses querelles de famille pour accréditer la dédiabolisation ne doivent pas faire oublier que ce parti est fondamentalement xénophobe.

Jaurès au Pré-Saint-Gervais, mai 1913

Jaurès au Pré-Saint-Gervais, mai 1913

La gauche peut mourir ?

 

Le centenaire de l’assassinat de Jaurès est là pour nous montrer que, sous divers avatars, la gauche socialiste non bolchevique, de congrès de Tours en congrès d’Epinay, de 1936 en 1981, a su survivre voire renaître. Mais de grands partis, comme le parti Radical, ne sont plus que des buttes témoins. Et c’est le PS qui, naguère, a plumé la volaille communiste et non l’inverse. Mais le PS peut, à son tour, connaître le sort des radicaux.

Sauf qu’à gauche, aucune autre force ne paraît prête à prendre le relais.

Les Verts semblent avoir hérité de tous les défauts de feu le PSU. Le calcul consistant à prendre le large du gouvernement juste avant les européennes a été un complet échec. Et même l’élection de 2009 est apparue comme n’étant due qu’au charisme de leur tête de file, Dany Cohn Bendit, et non à l’attractivité des idées écologiques.

Le calcul du Front de Gauche, ou plutôt de Mélenchon, était clair : taper à bras raccourcis sur les socio-libéraux, comme ils disent, pour rallier tous les déçus du socialisme. Sauf que ces déçus ne se sont pas déplacés (ou, marginalement, ont même pu voter F-Haine). Mélenchon, pour expliquer cet échec de sa stratégie s’en prend à ses alliés PCF qui ont eu l’outrecuidance d’estimer que, quand au niveau municipal, on avait loyalement œuvré ensemble à gauche, il était logique de repartir ensemble*. Les électeurs étaient capables de comprendre que les enjeux locaux ne se confondaient pas avec les nationaux. Sauf si un imprécateur leur brouillait l’écoute, en criant à la traîtrise. Quant à clamer, comme il le fait, que c’est la faute de Valls-Hollande qui ont naufragé toute la gauche, c’est l’aveu que son discours ne convainc pas et, qu’à tort ou à raison, les électeurs estiment qu’il n’offre pas une alternative crédible.

 

Aux élections européennes, la gauche – tout confondu – fait un peu plus d’un tiers des voix. Dans une logique de scrutins majoritaires – surtout si, comme le préconise Mélenchon, le vieux réflexe dit de « discipline républicaine », le vote pour le candidat de gauche le mieux placé, s’efface – elle peut être complétement et durablement laminée.

 

Avec un paysage politique inquiétant où seule la droite dite républicaine sera en mesure de disputer le pouvoir au F-Haine.

 

* Et aussi, dans des communes, comme notre évêché crotté, où une seule liste de gauche s’opposait à la liste de droite sortante, participer ou, au moins soutenir, la liste de gauche et non, comme cela a été fait ici, se livrer à une campagne souterraine pour la discréditer. Variante du vote dit révolutionnaire qui consiste à faire passer la droite !

 

Pour illustrer : Edouard Martin PS, Marielle de Sarnez UDI-Modem, Nadine Morano UMP, Florian Philippot F-Haine, José Bové EELV, Marie-Christine Vergeat FG

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 15:02

ND-des-landes.JPG

 

D’un seul coup, un désaccord « acté » se transforme en casus belli ! Des dirigeants d’EELV – Bové, Mamère, Joly et Placé – jouent les squatters. Mélenchon, toujours à l’affût de tout ce qui affaiblit le PS, se pointe. Et on essaie de nous faire prendre des vessies pour des lanternes, ND des Landes pour le Larzac !

 

Un peu plus d’un an déjà : prudemment EELV signe avec le PS, le 15 novembre 2011, un "contrat de mandature" ! Contrat qui vaut accord programmatique en cas de victoire de la gauche à la présidentielle de 2012. Un accord qui prévoit surtout aux « verts » plus de 60 circonscriptions et la garantie d’un groupe parlementaire à l’Assemblée Nationale.

 

Certes furent actés (comme on dit) quelques points de désaccord, l’EPR de Flamanville et l’aéroport de Notre-Dame des Landes. Mais pas de quoi remettre en cause un accord qui fait la part belle à EELV pour les législatives, avant le verdict des présidentielles, sur lequel, à l’évidence ils ont des craintes.

 

Bien avant, aux régionales 2010, les verts ligériens, tout en actant – en français de naguère ‘prenant acte’ – le désaccord sur ce projet de futur aéroport, n’eurent aucun état d’âme pour s’allier avec la liste de Jacques Auxiette, Président socialiste sortant et chaud partisan de cet aéroport, et occuper quelques fauteuils de vice-président(e)s. Projet qui n’était pas, loin s’en faut, celui du seul Ayrault, à l’époque Maire de Nantes, puisque outre la Région des Pays de la Loire, celle de Bretagne était d’accord, sans parler des départements ou villes. Faut-il mentionner au passage que si le PCF a émis des réserves, ce n’est absolument pas sur la création de l’aéroport, mais sur la concession au privé (le groupe Vinci).

 

On peut légitiment s’interroger sur ce projet. A partir de positions de principes d’abord : bétonisation continue de la nature au détriment des terres agricoles, développement d’un moyen de transports au bilan carbone désastreux… Plus prosaïquement, l’interrogation peut porter sur les perspectives qui l’ont fondé : un aéroport qui se veut de dimension internationale est-il viable dans l’ouest ? subsidiairement, l’actuel aéroport pourra-t-il réellement être urbanisé, Airbus ayant toujours besoin de la piste ? Et géographiquement, les ligériens du Sud-Loire sont fondés de se demander s’ils ne seront pas les cocus de l’histoire. Sans oublier bien sûr les agriculteurs et l’ensemble des habitants locaux.

 

Questions qui n’ont pas attendu le 6 mai pour se poser. Oppositions multiples et multiples recours. Du côté des agriculteurs et autres propriétaires locaux, un accord a été trouvé dans presque 9 cas sur 10. Mais, pour ceux qui restent, l’accord semble impossible, puisqu’on est sur des positions de principe. Jusqu’à la veille du 6 mai, les manifestations, orchestrées surtout par la Coordination rurale (gros tracteurs pour gêner par exemple le lancement de la campagne des législatives du PS en Vendée avec déjà cet affichage débile d’Ayraultport), restaient locales.

 

ND-des-landes_joly-bove.jpgQui a dit que « Mamère Noël est une ordure » ? toujours est-il qu’avec Bové, qui oublie qu’au Larzac il était issu du terroir alors qu’ici il vient jouer les donneurs de leçons, de Mme Joly forte d’un score local au diapason de celui obtenu nationalement, sans oublier Placé, mais faux-derche, un peu en retrait, il fait tout pour créer un abcès de fixation, obligeant les ministres verts à quitter le gouvernement.

Le contrat de mandature il veut le transformer en chiffon de papier.

Faut-il mentionner Mélenchon pour qui tout ce qui affaiblira la gauche de gouvernement est pain bénit et qui fait fi des positions de son allié PC ?

 

Sur le terrain, les opposants du terroir sont noyés dans une faune qui, à quelques exceptions près, n’a pas beaucoup de connivences avec la non violence à la Gandhi ! Contrairement à l’habitude, ce n’est pas du côté des gendarmes mobiles que les journalistes se font refouler. Non, ils essuient crachats et insultes de la part d’une fraction des prétendus squatters. Ces pacifiques protestataires balancent joyeusement des cocktails molotov aux affreux « robotcops » qui, scandale, ont l’audace de les déloger de leurs cabanes plantées dans le bocage où elles n’ont rien à foutre.

Il arrive même que ces doux garçons – car ce sont essentiellement des mâles – se fassent un vigile local (à une vingtaine, il faut quand même être prudent : tabassage en règle, plus incendie de la voiture, mais qu’il ne se plaigne pas ce mercenaire de Vinci, après quelques hésitations, ils ne l’ont pas laissé griller dans la voiture).

 

Drôle de jeu des Verts, mais aussi du PCF. L’opposition à ce projet est légitime. Autant que celles qui naissent à chaque projet d’éoliennes terrestres ou maritimes. Les recours judiciaires existent (dont la complexité et la lenteur posent d’ailleurs problème). Ils sont, en l’occurrence, quasiment épuisés. Dans le respect de la loi, le droit de manifester, dont j’ai usé tout au long de ma vie militante, est inaliénable. Mais il s’agit ici, d’une part pour les professionnels de l’agit-pas-prop (puisqu’ils crachent sur les journalistes) de semer la merde et pour des politiques verts, une fois le bénéfice d’un accord encaissé, de trahir cet accord. Sans oublier le double langage du prétendu « front de gauche », plus écolo que les écolos avec Mélenchon, mais pour l’aéroport au PCF* !

 

Ayrault tique, à juste titre. En tant que Maire de Nantes, il a bien sûr défendu ce projet de transfert de Nantes-Atlantique à N-D des Landes. Mais, ni plus ni moins que Jacques Auxiette, Président de la région Pays-de-la-Loire, ou Jean-Louis Tourenne, Président du Conseil général d’Île-et-Vilaine, ou Philippe Grosvalet, président du conseil général de Loire-Atlantique, et bien d'autres. Le mercredi 28/11/12, les élus de l’Ouest sont allés à Paris défendre ce projet «  qui a traversé toutes les alternances politiques ».

 

Une commission de dialogue est vaine, car le stade de l’échange rationnel d’arguments - s'il a existé - est dépassé. Les opposants demandent pour prix de leur participation(?) à ce dialogue que leur point de vue l’emporte, puisqu’ils détiennent la vérité révélée. Et un leader d’EELV récuse l’initiative car on n’a pas débattu sur la création de cette commission vouée au débat.

 

Faut-il ajouter que ce bocage n’a pas grand-chose à voir avec le Larzac. Il ne s’agit pas d’une extension d’un camp militaire ayant pour but de donner plus d’espace à nos beaux chars de combat ou autres joujoux militaires, donc stérilisant des hectares sans aucun bénéfice. Il s’agit de transférer un aéroport, pour qu'il soit capable d’accueillir l’A380 et ses 500 à 800 passagers, donc de lancer des travaux importants puis, outre le transfert des personnels de l’actuel aéroport et ceux des activités annexes, créer de nouveaux emplois pérennes.

 

La résistance locale a été totalement phagocytée par les militants extérieurs et, malgré un noble vieillard à la barbe blanche,  leurs têtes de file se sont fait voler la vedette par Joly et… Bové ! Bové qui, justement avait émergé de la lutte locale du Larzac.

 

Situation entièrement bloquée. Ayrault ou pas, le gouvernement, sauf recours en justice perdant, ne peut, dans un état de droit, céder devant les opposants. Ceux-ci, persuadés de posséder la vérité, donc d’être au dessus des lois au nom de la terre vivrière, iront jusqu’au bout. Les « Verts » auront réussi à transformer un point de désaccord constaté en conflit insoluble.

 

Chapeau, les artistes !

 

 

* Entretien de P. Laurent PCF

P-Laurent_NDdesLandes_OF08-12-12.jpg

 

 

 

 

 

En complément , un extrait du "Petit Journal" (le sujet sur ND des Landes vient en 2e) 

 

 

 

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