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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 16:38

Vous vous souvenez de Lies hebbadj ? vous savez ce polygame nantais, qui avait été déclaré présumé coupable par Brice Hortefeux, ministre de l’intérieur ? eh bien ! il vient de bénéficier d’un non-lieu ! comme Sarkozy !

Le polygame innocent !

Flash back : le 2 avril 2010, un motard de la police verbalise Sandrine Mouleres, avec 22€ d’amende, pour non-respect de l'article 412-6 du Code de la route, qui stipule que «tout conducteur doit se tenir constamment en état et en position d'exécuter commodément et sans délai toutes les manœuvres qui lui incombent». En effet, la dame conduisait en niqab et l’agent de la force publique avait estimé que le port de ce voile intégral pouvait nuire à sa bonne conduite… du véhicule. Précisons qu’à l’époque la loi sur ce fameux voile n’était pas encore votée.

 

Et ce qui avait déchaîné le bouze – parlait-on déjà de "bouze" à l’époque – ce fut surtout le mari, un certain Lies Hebbadj qui était venu appuyer la contestation du PV par son épouse.

 

Aussitôt, Brice Hortefeux saisit son collègue Besson pour qu’il étudie les conditions dans lesquelles l’individu pourrait être déchu de sa nationalité. Car l'époux de cette femme «appartiendrait à la mouvance radicale du Tabligh et vivrait en situation de polygamie, avec quatre femmes dont il aurait eu douze enfants. Au demeurant, chacune de ces femmes bénéficierait de l'allocation de parent isolé.» «J'ajoute, en outre, que ces quatre femmes porteraient le voile intégral

Le polygame innocent !

Pas tibulaire, mais presque aurait dit Coluche de ce personnage portant la barbe, vêtu à la pakistanaise d'un khamiss, la tête recouverte d'une calotte et d'un keffieh. Il tenait une librairie mais possédait aussi une boucherie halal à Rezé-lès-Nantes.

 

Arrivé avec sa famille en France à l’âge de deux ans, il obtient 22 ans plus tard la nationalité française. « Le Figaro » qui a « eu accès au dossier de naturalisation » nous en apprenait de belles sur le « trouble passé de Lies Hebbadj ». Ainsi nous apprenait-il que, bien qu’il n’ait eu aucun lien avec une mouvance islamiste avant 2000, il était « bien connu des services de police ». Polygame donc, il aurait quatre épouses officieuses, mariées religieusement, dont des Françaises converties à l'islam. Des femmes dont il aurait eu douze enfants, puis quinze. Ce qui donnait lieu à une escroquerie aux prestations sociales versées au titre de l'allocation de parent isolé à ses compagnes qui portent toutes le niqab et vivent dans une sorte de gynécée réparti entre trois maisons contiguës. Une fraude estimée à 90 000€.

 

Mais les charges contre le très étrange Lies Hebbadj ne s’arrêtaient pas là. Des fuites policières faisaient état de coups portés à l’une de ses concubines et surtout, en 2006, de la plainte d’un père de famille pour détournement de mineure, car le libraire était parti en voyage à Dubaï avec sa fille de 17 ans et demi. L'affaire fut classée sans suite, car la jeune fille avait affirmé l'avoir suivi volontairement pour des vacances.

 

Enfin – last but not the least – le procureur de Nantes révélait, toujours en 2010 mais en août, que Liès Hebbadj était accusé d’avoir violé "de façon répétée" une certaine Nina Gomez entre 2003 et 2006, notamment quand elle était enceinte. La jeune femme a depuis épousé un autre homme, et vit à Dubaï, aux Emirats arabes unis. "Elle a fait spontanément ces déclarations devant le juge d'instruction vendredi, lors de sa mise en examen dans le cadre de l'enquête sur des fraudes aux prestations sociales". (Le Point)

  

Le polygame innocent !

Psschitt…

 

Ne le dites pas à Hortefeux, mais tous les dossiers ont fait psschitt…

 

Tout d’abord, la niqabée Sandrine a vu son PV annulé par le tribunal de police: «On est dans un pays de libertés, tout ce qui n'est pas interdit est autorisé». Selon l’avocat, cette décision a été motivée par le fait que le niqab «ne présente aucune dangerosité car il bouge avec la tête» de la personne qui le porte.

 

Aucune véritable poursuite n’a été lancée pour polygamie puisque, en France, elle ne peut avoir aucune existence légale (les prétendus « mariages religieux » sont nuls et non avenus en droit).  Mais, Lies Hebbadj et ses concubines ont aussi bénéficié, en 2012, d’un non-lieu du juge d’instruction pour fraudes aux prestations sociales. "L'examen du dossier n'a débouché sur aucune preuve sérieuse à charge par rapport à Lies Hebbadj. L'essentiel des charges qui pesaient sur lui se dégonflent. La montagne a accouché d'une souris", commentait son avocate Cécile de Oliveira. Le seul élément retenu fut une fausse déclaration de l’épouse légitime sur la présence sur le territoire national de ses enfants légitimes pendant plus de trois mois, pour un préjudice de 3426 euros. (L’Express). Hebbadj sera lui condamné dans un dossier de travail dissimulé, sans rapport donc avec l’affaire.

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Restait donc, plus de trois ans après le PV, une plainte d’une ex-concubine pour viols aggravés. « Au terme de trois années d’enquête, la justice vient de rendre un non-lieu, définitif, pour Lies Hebbadj qui était accusé de viol par une ex-compagne. Ce commerçant rezéen voit ainsi ses ennuis judiciaires définitivement clos. » « J’ai toujours cru que c’était une manipulation, souligne maître Cécile de Oliveira, avocate du commerçant, car l’ex-compagne s’était souvent plainte de Lies Hebbadj sur son blog lors de leur rupture. Elle mettait en cause son comportement ou son indélicatesse supposée mais ne faisait jamais état de telles accusations. Celle-ci est sortie du chapeau devant un juge qui la mettait en examen… Tout s’est dégonflé. » (Ouest-France)

 

Le non-lieu n’a pas été passé totalement sous silence, mais rien à voir avec la flambée médiatique provoquée par les propos incendiaires d’un ministre de l’intérieur assez indigne. Propos qui, comme le rappelait l’avocate, visaient "à discriminer la communauté musulmane".

Propos totalement hors de proportion avec l’incident qui leur ont servi de prétexte. Et qui ont abouti à une instrumentalisation du préfet, des services de police, du parquet chargés de conforter la présomption de culpabilité du ministre. Et, à l’arrière-plan de cette mise en scène assez obscène se profilait la mise en place d’une procédure de déchéance de la nationalité.

 

Une affaire tristement typique des années sarkozy.

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 10:15

BlancLaurent

 

Les commentaires vont bon train. On a même eu droit sur je ne sais quelle chaîne à un commentaire croisé de Tapie (un précurseur dans l’achat des matches), de Pivot et du félon 1er , je veux dire Besson. Point commun : Laurent Blanc est blanc comme neige ; il faut le reconduire à la tête de l’équipe de France.


En revanche, Nasri, le sale gosse, est voué aux gémonies. Menez, le suffisant, est, fort justement, pointé pour bassement avoir  insulté l’arbitre, à peine rentré sur le terrain, pour ne rien faire… Ne parlons pas de M’Vila qui semble ignorer la coutume de taper les mains de son remplaçant et d’en serrer une de son sélectionneur. Mais au fait d’où sortent ces malapris ? De la sélection ! et qui fait la sélection ? Ne le répétez pas …. l’intouchable Laurent Blanc.


Notre vaillante équipe étant en phase de reconstruction, il fallut pardonner, pour la qualification à cet euro, une défaite à domicile face à la … Biélorussie et des matches plus que poussifs devant le Luxembourg ou l’Albanie. Mais, Lolo, comme disent les journaleux branchés, a renoué avec la bonne tradition d’une équipe de France quasi championne du monde des matches amicaux : Angleterre, Brésil (!), Ukraine et Pologne, Allemagne même…


En « pour de vrai », face à l’Angleterre ce ne fut pas la confirmation. Les rosbifs n’étaient pas très saignants. La France chevaleresque, rééditant la bataille de Fontenoy (« Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! ») les laissa inscrire le 1er but. Et ce fut Nasri, l’adolescent attardé, qui après avoir égalisé – un très beau but d’ailleurs – gâcha sa prestation avec un geste débile.


Avec la pauvre Ukraine, enfin l’équipe de France joua le jeu que son « coach » disait préconiser. Nous eûmes droit à au moins un quart d’heure de jeu dit à l’espagnole, mais dit aussi autrefois à la nantaise.


Hélas ! hélas ! hélas ! avec la Suède, on fit un bond en avant vers le … pire passé. Fini le jeu à la nantaise. Une défaite digne de l’ère Domenech ! Comme le dit justement Vikash Dhorasoo « Lorsqu'un match débute, on sait que l'on peut perdre. C'est même toute la beauté et le plaisir du jeu : la défaite au football n'a pas de conséquences graves, contrairement à une fermeture d'usine, une élection fâcheuse ou une erreur de manipulation dans une centrale atomique. »

Mais là, ce ne fut pas la défaite en soi qui importait (merci quand même aux anglais et à leur arbitre qui ne vit pas le ballon ukrainien entrer de plus d’un demi-mètre) mais la manière. Et le vestiaire qui suivit fut presque digne de celui où Anelka insultait Domenech. Ben Arfa, qui ne devait qu’à la confiance de Blanc d’être sélectionné, à une remarque du « coach », lui rétorqua que s’il n’était pas content il n’avait qu’à le renvoyer. Que Laurent Blanc ne l’a-t-il pas pris au mot, en lui indiquant la porte du vestiaire ?


Les millions de sélectionneurs que nous sommes pourront à l’infini disserter sur les choix du quart de finale. Pourquoi Laurent Blanc a-t-il renoncé à ses principes affichés en mettant sur le terrain une équipe dont l’objectif était d’annihiler les offensives adverses pour espérer une qualification à la roulette des tirs au but ?


Mais sa défaite n’est pas dans le 0-2 concédé à une Espagne pas étincelante. Elle est dans son impuissance à inculquer un comportement correct aux post-adolescents qu’il a sélectionnés.

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 19:09

Qu’elle était belle à voir la froide indignation de la dame Chabot, quand elle apprit que le vilain Vincent Peillon lui faisait faux bond !

 

L’impartiale directrice de l’information a-t-elle fait la bise à Besson, ou l’inverse (le baiser de Judas). Les caméras n’étaient pas là, pour nous montrer la probable scène.

 

Car, la chère Arlette a la bise facile. C’était en 2006, à l’issue de l’émission, en toute complicité, la dame s’était levée pendant le générique de fin pour claquer une bise sur la joue droite et même une autre sur la joue gauche de Jean-François Copé.

chabotcope1

Chabotcope2

 

Avec toute l’impartialité qu’on lui connaît, elle avait choisi, pour inaugurer la nouvelle formule de son émission politique, la veille du jour où le CSA allait décompter les temps de passage à la télé et à la radio des candidats à la présidentielle, le sémillant Ministre de l’intérieur de l’époque. Un pur hasard ! Et, à l’issue du débat du 2e tour des présidentielles, après que S. Royal s'était déplacée pour lui serrer la main, elle alla faire la bise à N. Sarkozy.

 

Mais l’ado capricieux ne lui fut guère reconnaissant. D’abord éliminée des entretiens avec UBUprésident, elle dut subir ses foudres, à l’issue de l’entretien qu’il avait décidé de donner à Ferrari et à Pujadas, à Nouillorque (rompant une fois de plus avec la tradition qui veut qu’un président ne s’exprime pas sur la politique intérieure à l’étranger). Elle avait eu le malheur de mettre son grain de sel dans un échange musclé entre le colérique et Kouchner. « Manifestement « à cran », Nicolas Sarkozy part aussitôt en flèche. Il se plaint de l'absence... de « vraies émissions politiques » sur le service public, regrettant feue L'Heure de vérité de François-Henri de Virieu. Curieuse critique qui ne résiste pas à l'examen des faits… ». Le Point

 

Humiliée publiquement, mais elle doit aimer cela, Arlette. Car le 26 novembre 2009, dans son émission, elle n’eut de cesse d’interrompre Martine Aubry, laissant M. Copé développer ses propos sans interruptions, lui. Il n’eut cependant pas droit à une bise… publique. Une autre fois, montrant qu’elle a bien assimilé l’idéologie sarkozyenne, elle essaiera de remettre de l’ordre dans un débat qu’elle était censée diriger en s’exclamant : « je n’ai jamais vu ça… c’est la culture banlieue qui entre dans le débat politique. Tous les coups sont permis ! ». (Mais peut-être faisait-elle allusion à une banlieue chicos où, de fait, un fiston de celui qui fait président poignardait dans le dos la tête de liste aux élections municipales ?).

 

Alors, la pôvrette a été victime d’un « coup d’éclat » du « voyou » Peillon (la « culture banlieue », on vous dit). Mais comme l’analyse fort bien Daniel Schneidermann, c’est son émission qui était piégée. « Quel qu'ait été l'ordre des prises de paroles et des préséances, cette émission était de toutes manières conçue comme valorisante pour Besson, portraituré seul en préambule (ma biographie, ma famille, mon antiracisme viscéral, mon enfance au Maroc, mes blessures intimes, mes plaies ouvertes, etc.), avant d'affronter successivement les deux serre-livres de gauche et d'extrême-droite (n'ayant pas droit, eux, à leur quart d'heure de moi-moi-moi, et réduits au statut de contradicteurs, donc de faire-valoir). De ce dispositif, Besson devait sortir dans la position du réaliste mais humain. Même détaillé aimablement aux participants au téléphone, ce dispositif en lui-même était un piège (sans parler du principe de consacrer une émission entière au fumigène de Besson). »

 

Peillon a donc bien eu raison de refuser de jouer le jeu de l’impartiale Mme Chabot. Et s’il a dû attendre le dernier moment, c’est certes pour donner plus d’éclat à son coup, mais aussi pour éviter qu’un Valls, qu’un Lang, voire un Dray, toujours prêts à tirer contre leur camp, ne vienne servir de caution pluraliste à Chabot.

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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 20:33

Souvenez-vous, 2007. D'accord, c'est loin.

Un incertain Besson, qui avait commis un argumentaire au fiel contre Sarko, passe, en pleine campagne électorale, du côté de celui qu'il vilipendait la veille. Il tenait la corde assurément pour l'obtention du JUDAS d'OR de l'année qui récompense le plus beau retournement de veste.

C'est sans crainte qu'il aurait pu voir arriver un Jouyet et même un Bockel, mais  Bernard Kouchner a raflé la mise haut-la-main.

 

En 2008 (ne parlons pas de Bernard Tapie qui lui a depuis longtemps retourné son pantalon), Claude Allègre, qui avait déjà fait un tour de chauffe l'année précédente  ne semblait risquer que la concurrence de Baylet, le leader de ce qui reste de radicaux dit de gauche (auxquels appartiendrait justement Tapie) pour voir s'échapper un prix apparemment moins disputé.

C'était sans compter sur l'ineffable Jack Lang. L'ex-professeur de droit international se pique d'être un spécialiste de droit constitutionnel. Sans autre mandat que sa propre décision, il a donc siégé dans une commission Balladur, chargée de faire des propositions de révisions constitutionnelles. Bien que les propositions, déjà insuffisantes, de cette commission ont été encore rognées par la majorité sarkozyenne, se considérant (avec cette touchante modestie qui le caractérise) comme co-auteur du projet, il a donc voté OUI à une révision de la constitution qui ne passe que d'une voix. (La comparaison avec l'amendement Wallon qui instaure la 3e République à une voix également est totalement indécent, vu le contenu de ce texte).

 

Certes, on pourra arguer des méthodes quasi mafieuses employées pour convaincre les députés de droite de voter droit (les cris de pucelle effarouchée du Vicomte Le Jolis de Villiers de Saintignon à l'encontre de méthodes que lui et ses séides emploient constamment dans notre belle Vendée furent un pur moment de bonheur) : quelques uns ont baissé leur pantalon. Mais c'est la droite et ses problèmes.

Tandis que Jack Lang se disait de gauche (bien qu'il ait de longue date donné quelques signes d'ouverture à l'ouverture).  Il n'est resté parlementaire que grâce à un parachutage dans une circonscription imperdable.

Il a donc acquis sans conteste la presque certitude d'emporter le JUDAS d'OR 2008 pour un magnifique retournement de sa veste en cachemire.

 

 

Petit montage de 2007

 

 

L'opportuniste

Je suis pour le communisme
Je suis pour le socialisme
Et pour le capitalisme
Parce que je suis opportuniste
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu'un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté

Je n'ai pas peur des profiteurs
Ni même des agitateurs
J'fais confiance aux électeurs
Et j'en profite pour faire mon beurre
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu'un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté

Je suis de tous les partis
Je suis de toutes les patries
Je suis de toutes les coteries
Je suis le roi des convertis
Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu'un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté

Je crie vive la révolution
Je crie vive les institutions
Je crie vive les manifestations
Je crie vive la collaboration
Non jamais je ne conteste
Ni revendique ni ne proteste
Je ne sais faire qu'un seul geste
Celui de retourner ma veste, de retourner ma veste
Toujours du bon côté

Je l'ai tellement retournée
Qu'ell' craque de tous côtés
A la prochaine révolution
Je retourn' mon pantalon

Paroles: Jacques Lanzmann & Anne Segalen. Musique: Jacques Dutronc   1968

 

Jacques Dutronc - L'opportuniste sélectionné dans N.C.
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