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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 21:18
El pequeño Nicolás, roi de l’esbroufe, berne les grands d’Espagne !

Francisco Nicolás Gómez-Iglesias, el pequeño Nicolás, n’a pas pour copains Alcestes, Clotario ou Rufo, ni Luisita, mais Felipe (VI), José Maria (Aznar),  Esperanza (Aguirre) ou Ana (Botella), sans oublier des hommes d’affaires ou des dirigeants syndicaux. Certes, il a un peu gonflé son CV, se faisant passer pour un conseiller de la vice-présidente du gouvernement ou bien encore pour un James Bond junior, membre du Centro Nacional de Inteligencia (CNI). Il n’a cependant usurpé aucune identité. Et s’il est accusé d’escroquerie – il aurait soulagé un agent immobilier de 25 000 € en se présentant comme intermédiaire dans une transaction – la victime n’aurait pas porté plainte.

 

 

« Francisco Nicolas Gomez-Iglesias, 20 ans, a dupé les plus grands en Espagne, façon Christophe Rocancourt, dont il est le fils spirituel. » écrit Le Figaro un des seuls en France à se faire l’écho des aventures du petit Nicolas ibérique. Quand il est arrêté et inculpé d’usurpation de fonctions officielles, à la mi-octobre personne ne sait réellement d’où sort ce jeune homme d’aspect quasi enfantin, bien sapé et de verbe agile qui se meut dans les cercles du Parti Popular (PP) madrilène comme un poisson dans l’eau. La presse espagnole découvre donc que cet étudiant d’une prestigieuse et coûteuse école supérieure de commerce, se retrouve sur des photos avec des chefs d’entreprises, des femmes et hommes politiques. Photos dont ils se servaient ensuite pour accréditer son influence supposée. Il serait tombé pour avoir voulu soutirer 25 000 malheureux euros, se faisant passer pour un conseiller de Soraya Sáenz de Santamaría, Vice-présidente du gouvernement et pour membre du CNI, et prétendant pouvoir servir d’intermédiaire pour la vente d’une propriété à Tolède. Il aurait aussi demandé de l’argent à un avocat de Jordi Pujol, ex-homme fort de Catalogne, en délicatesse avec la Justice, en promettant, en tant qu’agent du CNI, d’améliorer sa situation juridique. Petites escroqueries mais qui, si elles sont avérées, sont révélatrices du climat qui règne en Espagne.

Avec Ana Botella

Avec Ana Botella

Mais jusqu’à cette inculpation, Fran, comme on l’appelait chez les jeunes du PP  avait donc bâti son tissu de mensonges assez mégalos. Selon la police, il se déplaçait dans des voitures haut de gamme, parfois avec chauffeur, pour donner plus de crédibilité à ses affabulations. Quand la police a perquisitionné son domicile, elle a trouvé de faux rapports du CNI, de fausses autorisations pour faire entrer des voitures au Palais de la Moncloa, siège du gouvernement, une sirène et un gyrophare de police pour se sortir des embouteillages, et, plus mystérieux, d’authentiques plaques de garde civil et de policier municipal, dont, d’après le juge, leurs propriétaires officiels lui auraient fait cadeau !

Avec José Maria Aznar

Avec José Maria Aznar

Il est cependant difficile de comprendre, avoue la juge, comment un garçon aussi jeune, qui n’a pour lui que d’être beau parleur, a pu se trouver dans des conférences, réunions et lieux dont l’accès est en principe strictement contrôlé. Sa page fessebouqueu, comme dirait la marionnette de Bayrou, est digne d’un fan du PP, puisqu’il s’expose aux côtés de personnalités comme Esperanza Aguirre, José María Aznar ou Ana Botella ; mais on le voit aussi avec des hommes d’affaires comme Juan Miguel Villar Mir. Mais le clou, le chef d’œuvre même est bien sûr sa présence au couronnement de Felipe VI où on le voit toucher la main du nouveau roi et de son épouse ! S’introduire aussi dans le carré VIP du stade Bernabeu – pour les ignorants le stade du Real Madrid – est un exploit quasi aussi difficile.

Francisco Nicolás Gómez Iglesias avec Ana Rosa Quintana (présentatrice TV) et Esperanza Aguirre

De grandes zones d’ombre planent sur ce cas, propices aux meilleures théories du complot. Outre donc des véhicules hauts de gamme, des vrais plaques policières, le jeune étudiant recevait dans une villa luxueuse, appartenant à Kyril de Bulgarie et loué à un constructeur qui l’aurait recruté pour un travail de relations publiques. Lieu rêvé pour y réaliser des opérations avec des hommes d’affaires.

Il semble avoir été capable de décrire avec précision le siège du CNI. Il aurait été escorté, dans un voyage, par deux policiers de la ville de Madrid, en service. Et, dans ce prétendu rôle d’agent du CNI, et de quasi ami du roi, il a tenté de convaincre un représentant de l’association Manos Limpias (mains propres) de retirer la plainte contre l’infante Christine (son époux est impliqué dans une grosse affaire d’escroquerie dont elle prétend tout ignorer). Démarche pour le moins incongrue.

Ici au côté de Miguel Arias Cañete à l'époque Ministre de l'agriculture

 

Or, il se pourrait bien que notre petit Nicolás soit le petit fils d’un certain Vicente Gómez Iglesias, ex-capitaine de la Guardia Civil et qui fut inculpé et condamné en 1981 pour avoir participé au coup d’état du 23 Février où il faisait la liaison entre le lieutenant colonel Tejero et le CESID (Centro Superior de Información de la Defensa).

D’où l’hypothèse d’une aide extérieure, venant du corps auquel avait appartenu le grand-père ! Car aussi intelligent soit-il et aussi bonne soit sa photocopieuse, pour pouvoir fabriquer de faux laisser-passer, il lui fallait posséder un modèle fiable. Et qui pouvait lui fournir sinon celui ou ceux qui lui avai(en)t donné une plaque authentique de la Guardia civil ? sans oublier le gyrophare, modèle utilisé par les membres du fameux CNI, pour se reconnaître entre eux, en mission.

 

Pour un commentateur, l’histoire de cet habile Nicolás est un peu la métaphore de l’Espagne actuelle. Simplement en portant beau, et en se la jouant important, un gamin de 20 ans arrive à côtoyer les plus hautes sphères de la société et couronne, si l’on ose dire, cette carrière en participant au couronnement du roi ! Il n’y a que dans un pays de gogos* qu’une telle fable peut se produire. Un gamin s’incruste dans un parti politique, si bien que tous le connaissent sans qu’aucun ne sache qui il est. Et, à partir de là, il peut bâtir un scénario tel que des hommes d’affaires ou des avocats puissent le prendre au sérieux. A 20 ans déjà super champion de la duperie : quel dommage que cette carrière météorique ait été interrompue !

 

* Mais comme parti de gogos que dire de l'UMP qui va s'offrir au petit Nicolas et compte deux jeunes bluffeurs comme Guillaume Peltier et Geoffroy Didier à peu près aussi crédibles que Francisco Nicolás Gómez-Iglesias.

 

Le Monde du 17 avril 2015 (re)découvre notre pequeño Nicolás : En Espagne, l’énigme du « petit Nicolas », imposteur ou génie de la politique

 

 

El pequeño Nicolás, roi de l’esbroufe, berne les grands d’Espagne !
El pequeño Nicolás, roi de l’esbroufe, berne les grands d’Espagne !

Les touitteurs s'en sont donnés à coeur joie pour loger el pequeño Nicolás dans tous les grands moments contemporains ou historiques. Ces deux images n'en donnent qu'un aperçu.

 

Pour les hispanophones, deux vidéos.

La 1ère montre que le petit Nicolás était assez précoce dans l'art de se mettre en scène.

La seconde est tirée d'une émission populaire de la 6 (sexta !) espagnole avec un présentateur comique, surnommé Wyoming,  qui doit être payé au mot, vue la vitesse du débit.

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 14:53
Podemos et Pablo Iglesias : les oubliés de la presse française

Les titres auxquels vous avez échappé : « Podemos, un furoncle dans le sphincter de la gauche », « Iglesias=Satanas » « Podemos : enterrez-les dans la chaux vive » « Le Mélenchon ibérique ».

Podemos et Pablo Iglesias : les oubliés de la presse française

Podemos est né du mouvement des « indignés » - des Indignados aussi efficaces qu’un verre d’eau tiède, disait un de mes contributeurs et néanmoins ami ! Après quatre mois d’existence, Podemos fait, aux européennes, presque 8% des voix et a autant d’élus que le Front de gauche en France ! Et cela sans s’allier avec « Izquierda Unida » (Gauche Unie), regroupement de communistes et d’associatifs liés aux CCOO (Commissions Ouvrières, voisines de la CGT française) et qui, pour l’occasion a élargi ses alliances pour devenir Gauche Plurielle (voilà qui nous rappelle quelque chose). Izquierda Plural (IP) pèse près de 10 % des voix.

 

Même si Podemos a mordu sur l’électorat qu’escomptait IP, les grands perdants sont les deux grands partis PP et PSOE. Alors qu'en 2009, ils avaient rassemblé plus de 82% des suffrages, ils n’en ont rassemblé que 49%. Le bipartisme à l’espagnole en a pris un sérieux coup, même si, mais moins qu’en France, l’abstention était au rendez-vous avec 45 % d’exprimés.

Pour le PSOE, un choc qui a abouti à l’élection à sa tête d’un homme nouveau, le député madrilène Pedro Sánchez.

 

Eh non ! Pablo n’est pas le fils de Julio. Pablo Iglesias Turrión (né à Madrid en 1978), l’âme de Podemos, était professeur de Sciences Politiques à l’Université Complutense à Madrid et présentateur du programme de débat La Tuerka*. Son grand oncle paternel fut fusillé par les franquistes. Son grand-père paternel, socialiste fut commandant dans l’armée républicaine ; condamné à mort, il a passé 5 ans en prison. Sa mère, la première de la famille à entrer à l’Université, a milité dans la clandestinité et son père a connu la prison sous la dictature. « Ses parents l’ont prénommé Pablo en l’honneur d’un autre Iglesias, Pablo Iglesias Posse, père du socialisme espagnol. » “Dans notre famille, on lutte pour la classe ouvrière depuis le XIXe siècle”, dit sa mère (…) Il s’inscrit aux Jeunesses communistes dès 14 ans.

Le débat porte sur les bourses universitaires

Un Mélenchon Hispanique ? Outre que le résultat de Podemos (nous pouvons ou Yes we can) est nettement supérieur, que la méthode de fonctionnement et de désignation des candidats n’a absolument rien à voir, le jeune profesor est un animal à sang-froid : il sait se contenir pour débattre, à l’aise devant les caméras, il participe à des émissions hostiles sans jamais se départir de sa contenance. « Une main de fer idéologique dans un gant de velours ».

Podemos et Pablo Iglesias : les oubliés de la presse française

Des attaques d’une violence inouïe

Et les attaques dont il est l’objet – à la hauteur de la surprise causée par le résultat de Podemos - sont d’une violence inimaginable. « En Espagne la caste est un cancer, mais Pablo Iglesias et ses électeurs devraient être enterrés dans de la chaux vive » ; « Pablo Iglesias, son équipe et ses électeurs sont des scories qui polluent le pays et devraient être exterminés et jetés dans un fossé ».

Le summum de l’indignité étant dans ce détournement du 3 de mayo de Goya - précédé d’un message disant qu’Iglesias devait être jeté dans une fosse, une balle dans le front -  où on reconnaît, outre Iglesias, Juan Carlos Monedero et Teresa Rodríguez, et, sur le sol, déjà mort, Luis Alegre. (El Plural 17/07/2014)

 

Déchaînement haineux de nostalgiques du franquisme marginaux ? Les médias de droite et le PP sont à peine plus modérés. Ainsi, des journalistes d’El Mundo, journal de droite, publient un livre intitulé « Démonter Pablo Iglesias » (“Deconstruyendo a Pablo Iglesias”). Que Podemos soit attaqué comme un risque pour les institutions espagnoles se comprend, puisque Iglesias récuse la transition pacifique après la mort de Franco et veut rétablir la République. Mais, ce libelle, insinue surtout que le nouveau parti aurait été financé par le Venezuela de feu Chavez. S’y ajoutent, pour Iglesias, des accusations de sympathie pour l’ETA.

Et on atteint le sommet de l’odieux avec la dame Aguirre qui pulvérise le point Godwin. Esperanza Aguirre, présidente du Parti Populaire de Madrid, alerte sur le danger de la démagogie populiste qu’incarne la formation de Pablo Iglesias, semblable à celle de Chávez ou Correa (Equateur). Mais surtout elle assure que les leaders de Podemos ont démontré connaître les techniques de propagande incarnées par les génies du mal que furent Willy Münzenberg (membre du PC allemand avant guerre) et Joseph Goebbels ! Venant d’une cacique d’un Parti non défranquisé, miné par la corruption, l’accusation est des plus grotesques.

Podemos et Pablo Iglesias : les oubliés de la presse française

La question de la démocratie

Pour le Recteur de l’Université Complutense, dont Iglesias fut un enseignant contractuel, Podemos est un cas d’école à étudier dans toutes les universités. C’est un mouvement qui traduit le mécontentement et montre que les partis traditionnels et les syndicats n’y apportent pas de réponses. La formation d’Iglesias a su capitaliser cette critique ("capitalizar esa crítica") et la cristalliser dans un mouvement politique dont il reste à voir quel sera son avenir. (Público)

 

 « Il y a un moment où la politique cesse d'être l'art de la prudence et devient l'art du courage » dit Iglesias. La question de la démocratie doit être l’axe du combat pour la rupture qu’il préconise. Selon lui, le combat politique n’est pas entre droite et gauche, mais entre ceux qui prônent la démocratie et ceux qui veulent y mettre un terme. Mais la démocratie qu’il préconise consiste en un mouvement d’expropriation (un movimiento expropiatorio), consistant à enlever le pouvoir aux quelques personnes qui le monopolisent pour le répartir entre tous.

 

Le propos est séduisant. Comme un écho du combat lointain pour l’autogestion.

Teresa Rodríguez, Carlos Jiménez Villarejo, Lola Sánchez, Pablo Echenique

Teresa Rodríguez, Carlos Jiménez Villarejo, Lola Sánchez, Pablo Echenique

Il s’est traduit dans les faits par la désignation, hors tout appareil politique, des candidats de Podemos aux européennes. Sauf que ces primaires citoyennes n’ont réuni que quelques dizaines de milliers de votants. Ainsi, Teresa Rodríguez, deuxième élue, n’avait totalisé que 9000 votes. A côté de cette militante syndicale, plus surprenant est le choix d’un ex-procureur, il est vrai anti-corruption, Carlos Jiménez Villarejo, âgé de 80 ans. Lola Sánchez, la 4e élue, après avoir décroché son diplôme de Sciences Politiques fit partie des exilés économiques, surfant de petits boulots en emplois précaires, en Islande, Ecosse et Etats-Unis, avant de revenir comme serveuse à Carthagène. Pablo Echenique, le cinquième élu, est un scientifique de renom atteint d’une maladie dégénérative qui se bat pour que les personnes handicapées ne soient pas que des sujets de charité publique. (Público)

 

Le programme n’est pas  moins séduisant. 35 heures, retraite à 60 ans, revenu de base assuré à tous, interdiction de licencier aux entreprises qui font des bénéfices, reconnaissance des droits des immigrés, éducation publique, gratuite et laïque, etc. C’est dans le domaine de la Justice qu’il est le plus précis avec l’aggravation des sanctions pour les délits fiscaux, mécanismes démocratiques de contrôle pour apporter la transparence dans l’adjudication des contrats publics, le financement des partis, les rétributions des charges électives.

 

Contrairement à l’ambigu Beppe Grillo, Pablo Iglesias ne joue ni le gourou, ni le splendide isolement. Podemos s’est rapproché d’Izquierda Unida. Au point, dans une émission, de se liguer contre le futur secrétaire général du… PSOE (Pedro Sánchez  ridiculisé titrèrent des sites d’extrême-gauche).

 

Sauf que, comme le rappelle un éditorialiste « l’adversaire n’est pas la gauche. La droite est le grand adversaire. » Une droite de plus en plus proche du franquisme et de plus en plus loin de la démocratie. La revendication républicaine, liée à la condamnation (facile a posteriori) de la transition démocratique - que défend un Cercas et bien sûr un de ses acteurs, Felipe González – n’est peut-être pas d’une urgence absolue.

 

L’équation espagnole est d’autant plus compliquée que viennent se greffer les revendications nationalistes (catalanes, basques et même galiciennes). Et Podemos, si lui, contrairement au Front de gauche, recueille les déçus du socialisme, par son système de fonctionnement, est un mouvement encore très fragile. Ne sera-t-il qu’un feu de paille ?

Après tout, les indignés, qui agissaient sporadiquement en dehors de toute structure syndicale ont, quand même, réussi à donner naissance à cet objet politique non identifié, dont le chef de file ne se prend pas pour un messie. Et ce sera aussi au nouveau secrétaire général du PSOE de faire preuve d’inventivité pour forger une union de la gauche pouvant fédérer cet OPNI.

 

* La Tuerka est une émission de télévision que Pablo Iglesias et ses collaborateurs (professeurs et élèves de sciences politiques à l’université Complutense de Madrid) ont diffusée sur Internet et sur la TNT.

 

 

P.S. Un sondage de juillet inscrit PODEMOS comme 3e force politique espagnole

Podemos et Pablo Iglesias : les oubliés de la presse française

Ce sondage a eu lieu avant le changement à la tête du PSOE.

Il traduit cependant un effondrement des socialistes, alors que le PP, pourtant convaincu de corruption, qui mène une politique régressive sur l'IVG, régresse à peine.

Mais ce qui ressort c'est l'émergence de Podemos à 15 %; dont souffrent, outre le PSOE, IU et UPyD.

Pour les hispanisants, une vidéo de propagande de PODEMOS

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