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28 février 2024 3 28 /02 /février /2024 22:13
Letizia a-t-elle cocufié Felipe ?

Que l’ex-mari de la sœur, Jaime del Burgo, prétende avoir été l’amant de la reine d’Espagne pourrait, pour autant que ce soit avéré, prêter à sourire. Après que son père, Juan Carlos, a largement cocufié son épouse, il y aurait comme un ironique retournement dans le cocufiage du fils et héritier du trône, Felipe. Sauf, qu’outre la goujaterie du soi-disant amant, derrière ces prétendues révélations, on trouve une clique de droite affirmée et de cathos de combat modèle Opus Dei. Et peut-être même, le roi émérite, qui ne supporterait pas sa bru…

En novembre dernier, les éditions Almuzara ont publié « Letizia y yo », le nouveau livre de Jaime Peñafiel  qui a mis en lumière les actuels rois d'Espagne. Depuis, les nouvelles sur de prétendues infidélités dans le mariage se multiplient et l’exemplarité des monarques est remise en question.

Mais  qui se cache derrière ce complot qui est sans aucun doute devenu l'une des campagnes de diffamation les plus dures que les personnalités publiques aient subies ces dernières années dans notre pays.

Menaces, chantage, désinformation, ingérence dans la vie privée et révélation de secrets ne sont que quelques-uns des ingrédients qui font partie d'une conspiration à laquelle participent l'extrême droite, mais aussi des hommes d'affaires, des hommes politiques, des nobles et des sociétés journalistiques au caractère nettement conservateur. L’ombre de l’Opus Dei et d’autres institutions ultra-catholiques liées à l’Église catholique est également présente. 

Manuel Pimentel

Manuel Pimentel

La maison d'édition Almuzara, de l'ancien ministre du PP Manuel Pimentel

Le 17 novembre 2023, les éditions Almuzara publient la première édition de « Letizia y yo », un ouvrage dans lequel le journaliste chevronné Jaime Peñafiel promet de révéler des faits sur la question de savoir si « la reine Letizia Ortiz a un passé caché controversé qui pourrait avoir un impact sur sa vie actuelle. » et même se demander « si elle a joué un bon rôle de mère ».

La maison d'édition, dont le siège est situé dans la province de Cordoue et dont l'unique administrateur est l'ancien ministre du Travail et des Affaires sociales du gouvernement du Parti populaire de José María Aznar, Manuel Pimentel, se vante que les pages de « Letizia y yo "  donnent beaucoup à dire."

 

Letizia y yo

 

 

 

 

 

 

 

 

AUTEUR:JAIME PENAFIEL

 

Quels secrets cache la reine Letizia ?

Découvrez les grands secrets de la reine Letizia.

La reine garde-t-elle un passé caché controversé ?
Cela pourrait-il avoir un impact sur sa vie actuelle ?
Savons-nous vraiment qui est cette épouse au-delà de ses tenues célèbres et de ses bons discours ?
Joue-t-elle un bon rôle en tant que mère de l'héritière du trône, la princesse Eleanor ? L'histoire de nos rois est-elle vraiment une histoire d'amour ?
Quelles décisions et actions cachées ont ébranlé le noyau de la monarchie ?
Si nous pensions que Jaime Peñafiel avait tout dit sur la reine Letizia, nous avions tort, car ces pages donneront beaucoup à dire. Allez les lire.



"Peñafiel est une icône pour ceux qui tentent de se frayer un chemin dans le monde difficile du journalisme rose." Rosa Villacastín, «Diez Minutos»
"Le journaliste expert de la Casa Real a désigné la reine Letizia comme la coupable de la séparation de la famille royale espagnole." Joaquín Urriaga, «Semana»

«De nombreuses années aux côtés du roi Juan Carlos Ier, témoin des chapitres les plus importants de l'histoire de la famille royale et fidèle gardien de secrets importants, ont fait de lui une autorité lorsqu'il s'agit d'analyser ou de faire la lumière sur les controverses qui visent le roi émérite et toute sa famille. » Mila Fernández, "HuffPost".


«Jaime Peñafiel est l'un des journalistes les plus célèbres du monde du cœur. Son expérience dans les affaires de la Maison Royale est reconnue et il a toujours fourni des informations claires sur les événements exceptionnels qui se produisent derrière les murs de la Zarzuela". Avril Lozano, «Diario de Mallorca»

 

Présentation du libelle par l'éditeur

 

 

 

 

Ce n'est pas la première fois qu'Almuzara, avec un chiffre d'affaires en 2022 de 3.402.874 euros selon le cabinet de conseil privé Asexor, publie des livres controversés sur la reine d'Espagne.

 

En effet, en mars 2018, Almuzara a édité le livre « L'amour de Penny Robinson », de l'ex-mari de Letizia Ortiz, Alonso Guerrero . Sur son site Internet, l'éditeur est également clair sur le contenu de l'ouvrage Ce roman raconte un cas réel sans précédent : la transformation d'un homme à la vie sans histoire en une personnalité médiatique qui, du fait de son mariage avec celle qui allait devenir reine d'Espagne, est persécuté par la presse à potins. non seulement pour ce qu’il peut dire, mais aussi pour ce qu’il est.

Jaime del Burugo

Jaime del Burugo

Les « révélations » de Jaime Peñafiel se basent sur ce que lui a raconté Jaime del Burgo, un homme d'affaires basé aujourd'hui en Angleterre et en Suisse, fils du leader historique du Parti populaire de Navarre, Jaime Ignacio del Burgo , très lié à l’Opus Dei comme ses six fils, et ancien beau-frère de Letizia Ortiz. En effet, ce personnage, prétend qu’avant 2000 il aurait eu une romance, comme dit Paris-Match, avec Letizia Ortiz, à l’époque journaliste à la TV Espagnole, et que même en 2001 il allait la demander en mariage quand, catastrophe, Letizia lui a révélé qu’elle avait rencontré l’homme qui allait changer sa vie : Felipe de Bourbon ! Toujours selon Paris-Match, les ex-amants auraient convenu de rester bons amis, si bien que Jaime del Burgo a joué les témoins lors du mariage de Letizia Ortiz avec le futur roi d’Espagne, célébré en grande pompe le 22 mai 2004. La veille des noces, ils se seraient même retrouvés au restaurant El Latigazo de Madrid et Letizia aurait supplié son ami de « ne jamais la quitter ». La cruelle Letizia aurait mis fin à la romance, qui perdurait après les épousailles royales, en 2011. L’amoureux éconduit s’est donc rabattu sur la petite sœur de la reine, Telma Ortiz, pour l’épouser en 2014 et en divorcer 2 ans après.

Selon Peñafiel lui-même, ce que del Burgo fait avec Letizia Ortiz est « une violation de l’intimité la plus intime de l’être humain ».

Corinna Larsen Juan Villalonga Juan Carlos, l'émérite

Corinna Larsen Juan Villalonga Juan Carlos, l'émérite

Le roi émérite est-il à l'origine de la publication de « Letizia et moi » ? Et quel rôle jouent des hommes d'affaires comme Juan Villalonga  (ancien directeur exécutif de Telefónica étroitement lié au Parti populaire de José María Aznar) dans ce complot ?

"Non non! Rien. Ce sont des mensonges ! "Ce sont des mensonges", assure Jaime Peñafiel. Cependant d'autres sources crédibles indiquent que le roi émérite est presque obsédé depuis son « exil » par l'avenir de la conspiration contre Letizia Ortiz.

manifestants d'ultra-droite contre Letizia Ortiz

manifestants d'ultra-droite contre Letizia Ortiz

Depuis la mise en vente de "Letizia y yo", les militants qui ont joué un rôle fondamental dans les rassemblements organisés par Vox contre le siège national du PSOE ou dans ceux auxquels participe le lobby réactionnaire Hazte Oír, ont publié le livret de famille, des documents sur des antécédents médicaux, des images privées et de surveillance présumée de Letizia Ortiz.

Un matériel intime dont la véracité n'a pas été prouvée et qu'aucun média ayant une éthique journalistique minimale ne pourrait jamais publier, sur une quelconque personnalité publique. Harcèlement criminel mené dans les groupes Telegram et sur leurs chaînes X (anciennement Twitter) en toute impunité et dans lequel il est clair que la persécution de Letizia Ortiz est aussi une question politique .

 

La vérité est que les diffamations et les insinuations faites par Jaime del Burgo ont été reproduites par les principaux complotistes des réseaux sociaux, que des organisations ultra-catholiques comme Hazte Oír, liées à la secte ultra-catholique El Yunque et au sommet de Vox, les ont utilisées pour diffuser leurs campagnes de haine contre la gauche.

 

Jaime Peñafiel est né à Grenade. Après des études de droit, il choisit d'étudier le journalisme et sa première mission se déroule chez Europa Press, où il couvre le voyage de Paul VI. S'ensuivent les couronnements de Jean XXIII, Jean-Paul Ier et Jean-Paul II. Il a été présent lors des tremblements de terre au Pérou, en Iran et à Agadir, de la guerre des Six Jours, de la guerre entre l'Algérie et le Maroc et d'autres conflits de guerre. Il a assisté aux funérailles de Frédéric du Danemark, de Grace Kelly, de Diane de Galles, de Hussein et du Shah de Perse. Il a assisté à plus de cinquante mariages royaux et aux couronnements du Shah et de son épouse Farah Diba, de Jean Charles Ier, de l'empereur Bokassa, de Béatrice de Hollande, de Marguerite de Danemark, de Charles Gustave de Suède, de Harald de Norvège et de Constantin de Grèce. Il a accompagné les rois émérites lors de plus d'une centaine de visites officielles à l'étranger. Son curriculum vitae comprend les vingt-deux années où il a été rédacteur en chef de la revue ¡Hola!, directeur de La Revista, directeur adjoint d'El Independiente et collaborateur de COPE, Telemadrid, Antena 3 TV, La Estrella Digital et Republica.com ». Depuis vingt ans, il collabore à la revue « Pronto » Il était chroniqueur à « El Mundo », mais il en a été viré après parution de son libelle. Il a rejoint « OK Diario » très à droite.Ses livres incluent « Dieu sauve la reine », « Dieu sauve aussi le roi », « Juan Carlos y Sofía. Portrait d’un Mariage » et « Les talons de Letizia ». Chez Grijalbo, il a publié "Les rois pleurent aussi" et "Isabel La maîtresse de ses maris" (biographie d'Isabel Preysler).

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 21:06

Les arrière-cuisines de l’auberge espagnole

 

Poser la question «  Rajoy en a-t-il croqué ? » revient à se demander si les alligators aiment la viande faisandée. Mais pourquoi l’Espagne attire-t-elle les scandales financiers à répétition ? Réalité politique ou structurelle ?

 

Les juges espagnols qui travaillent sur la délinquance financière espagnole sont peu connus, mais ils existent. Cependant, l’Espagne n’a pas connu d’opération « Mani pulite ». Les affaires marseillaises et parisiennes doivent inciter les Français à la modestie, mais leurs voisines ibériques se différencient par des structures administratives et judiciaires où l’État et sa justice sont théoriquement puissants et en fait mineurs.

 

L’AUTONOMIE À TOUT PRIX

 

Barcenas_champ.jpg  L’essentiel des fonds publics et des fonctionnaires n’est pas géré par les Cortes, l’Assemblée nationale de Madrid, mais dans les 50 provinces et les 17 « Communautés autonomes » qui les regroupent (plus Ceuta et Melilla). Les « ayuntamientos » (mairies) sont dirigés comme des entreprises privées, avec des personnels sans garantie d’emploi et des impôts locaux très faibles par rapport à la France. Certaines Communautés, comme le Pays basque et la Catalogne, ont leurs polices régionales (Ertzaintza ou Mossos d’esquadra). Les relations avec le pouvoir central, accusé de vampiriser les richesses locales ou de manquer de solidarité, sont exécrables en cas d’opposition politique, méfiantes en situation inverse, toujours fondées sur le marchandage.

Le maigre budget national ne permet guère à un Premier ministre, quel qu’il soit, de financer largement son parti, ses permanents et ses obligés. Comme l’a fait son prédécesseur, Jose Maria Aznar, Mariano Rajoy doit donc se tourner vers ses relais provinciaux et riches.

 

UNE BANQUE AU SERVICE DU PEUPLE POPULAIRE

 

L’argent ? Depuis une vingtaine d’années, il était dans le BTP et les banques. Les fonds politiques viennent des deux, et particulièrement des marchés publics, où les réseaux bancaires jouent un rôle déterminant comme financeurs des collectivités territoriales. Ce n’est pas un hasard si les régions les plus « scandaleuses » (Valence, Andalousie, Baléares, Catalogne, Madrid) sont liées à l’immobilier et au tourisme. Qui diable pourrait reprocher à des élus populaires modernes de construire des centaines de tours à Majorque ou à Benidorm et de favoriser des entreprises locales pour ce faire? Unjesus-gil-y-gil cas d’école est celui de Jesus Gil, maire PP de Marbella entre 1996 et 2002, qui mariait corruption, immobilier et mafia dans un système familial néo-franquiste.

 

 

 

 

 

 

 

 

LE BUSINESS DE DON FELIPE

felipe-gonzalez-rey-juan-carlos.jpg Felipe Gonzalez et le roi Juan-Carlos

 

Ces affaires ont été révélées depuis la mort de Franco en 1975. Auparavant, la corruption en faveur de l’Église catholique et son Opus Dei, des organisations phalangistes et de la nomenklatura d’affaires établie par le Caudillo, était énorme, mais impubliable sous peine de mort. Le développement économique et politique du « felipismo » a fait du PSOE et de son leader Felipe Gonzalez* des modèles  démocratiques, pendant que se mettait en place le « système Guerra » (du nom des deux frères socialistes Juan et Antonio) qui assurait de l’intérieur du PSOE une rente au parti, avec les méthodes habituelles (marchés publics, pots-de-vin, clientélisme). La recette était bonne, elle a duré. D’autre part, les entreprises espagnoles peuvent donner des fonds aux partis politiques, suivant des procédures spéciales rarement appliquées.  Enfin, un juge qui s’attaque au pouvoir régional a peu de relais et d’appuis locaux, même légaux.

 

LA COURONNE DÉVALUÉE

 

izquierda-unida-cumple-25-anos-L-KXfWxj.jpegLa seule organisation politique ayant échappé jusqu’ici aux enquêtes financières du journal « El Païs » (« El Mundo » est plus discret sur le PP) est « Izquierda Unida »** (Gauche Unie), regroupement de communistes et d’associatifs liés aux CCOO** (Commissions Ouvrières, voisines de la CGT française).

Jusqu’à 2010, la seule institution épargnée par les tourmentes criminelles et régionalistes était la monarchie constitutionnelle, garante de l’unité nationale. Depuis le safari africain de Juan-Carlos payé par le pays et les frasques financières de son gendre, le prestige royal s’est terni.

Les coupes budgétaires, la ruée du chômage, une solidarité nationale en panne, un Premier ministre aussi impuissant que son prédécesseur Zapatero, un PSOE à EEG plat, des Indignados aussi efficaces qu’un verre d’eau tiède, font de l’Espagne un pays en perdition.

 

LES FORMALITÉS

 

La situation a un seul avantage : prouver une fois de plus que la gestion par les banques privées et les « recortes » de la dépense publique ont deux effets principaux, détruire la démocratie et enrichir des créanciers gavés. Pour en sortir, il faut virer Angela Merkel et son collaborateur Rajoy, autoriser des prêts directs aux états par la BCE, relancer l’activité européenne par des financements d’infrastructures associant l’Espagne, le Portugal et l’Italie, et peut-être la Grèce. Y arriver nécessite quelques formalités, comme des élections amenant une (vraie) gauche au pouvoir.

 

Gilbert Dubant

 

 

 

* Séville, 6 mai 1994, 18 h 30. (…) quelque 5 000 militants socialistes arrivent au Palais des sports pour assister à un meeting du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE).  (…) un homme s’avance seul sur l’immense scène. Chemise déboutonnée, sans cravate, en blouson sombre, M. Felipe Gonzalez, président du gouvernement espagnol (...) sur un ton grave, il aborde le thème que toute la salle (et toute l’Espagne) attend, celui de la corruption qui menace d’emporter son gouvernement et de ruiner son avenir politique : « Lorsque nous sommes arrivés au pouvoir en 1982, nous étions préparés pour lutter en faveur des libertés et du progrès, mais nous n’étions pas préparés pour vivre avec des gens, issus parfois de nos propres rangs, qui ont utilisé leurs fonctions dans l’administration publique pour s’enrichir ; des gens qui ont fait passer l’appât du gain avant le souci de la solidarité. J’éprouve un profond dégoût et une profonde honte pour avoir fait confiance à des personnes qui ne le méritaient pas. »  Ignacio Ramonet, juin 1994. Parmi ces corrompus Luis Roldàn, directeur général de la Guardia civil qui va fuir et va connaître une arrestation rocambolesque à Bankok.

Mais le grand scandale fut celui du GAL – groupe antiterroriste de libération – qui mena une « guerre sale » en France contre l’ETA. Une ETA qui, faut-il le rappeler, a causé beaucoup plus de morts sous la démocratie que sous le franquisme.

 

** Aux dernières élections 6,09 % des voix.

Depuis, l'affaire dite des cartes de crédit opaques (fournies à des administrateurs de caisses d'épargne) a touché aussi des membres d'IU et des CC OO En principe, elles devaient servir à régler des 'frais de représentation', en fait elles semblent avoir servi à des frais personnels. (note du 21/11/14)

 

 

Petit commentaire du déblogueur

On l’aura compris, il y a la « vraie » gauche, estampillée par les auto-proclamés décerneurs de diplômes de 100 pour 100 pure gauche, garantie sans additifs socio-démocrates (qui nuisent gravement à la santé du peuple) et lesdits socio-traîtres PSOE au delà des Pyrénées, PS dans l’hexagone. Même la gauche de plein air, élevée aux bons grains des manifs géantes ou des actions anti-expulsions, ne trouve pas grâce à leurs yeux. Il est vrai que leurs hauts faits d’armes ne nuisent guère à la bonne droite, style PP. Au contraire.

Mais comment expliquer l’impuissance de la « vraie » gauche, IU en l’occurrence mais on laisse deviner son nom en France, à fédérer ces indignés pour leur ouvrir les yeux et leur faire découvrir la beau royaume du yakafokontoutésimple ?

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