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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:48
Nickolas Muray, amant de Frida Kahlo

To you, my loveliest Nick, all my heart, blood, and all my being. I adore you. Frida ainsi se conclut une longue lettre de Frida Kahlo à son amant, le photographe Nickolas Muray ; lettre envoyée de Paris le 27 février 1939, avec pour sceau, l’empreinte des lèvres de l’amante.

 

Nickolas Muray est né en 1892 (sous le nom de Miklós Mandl) à Szeged en Hongrie. Quand à 21 ans il débarque aux Etats-Unis, il a déjà un bon bagage en arts graphiques acquis dans des écoles d’art de Budapest puis de Berlin. Il trouve donc rapidement du boulot dans une imprimerie en couleurs, avant, en 1920, d’ouvrir un studio.

La commande par le Harper's Bazaar du portrait de Florence Reed, une vedette de Broadway, va le lancer dans les magazines (Vogue, Vanity Fair, McCall's Magazine, etc.)  à partir de 1921.

Joeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan CrawfordJoeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan Crawford
Joeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan CrawfordJoeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan Crawford
Joeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan CrawfordJoeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan Crawford

Joeueur de base-ball, DH Lawrence, Gloria Swanson, Clara Bow, Louise Brooks, Douglas Fairbanks et Joan Crawford

Mais à côté de ses innombrables portraits, de ses photos de plateau de ciné, il s’intéresse particulièrement à la danse et en particulier à Ruth Saint-Denis et à sa compagnie, dans un noir et blanc assez expressionniste.

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Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo
Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo
Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo

Outre Ruth Saint-Denis, il photografia aussi la danseuse Rosa Rolando qui va faire partie des proches de Diego Rivera et Frida Kahlo avec son mari et metteur en scène Miguel Covarrubias.

A gauche Nick Muray et Rosa Covarrubias (Rolando)

A gauche Nick Muray et Rosa Covarrubias (Rolando)

Rosa Rolando-CovarrubiasRosa Rolando-Covarrubias
Rosa Rolando-CovarrubiasRosa Rolando-Covarrubias

Rosa Rolando-Covarrubias

Beaucoup plus intéressante que sa production de la fin des années 30 aux années 50, véritables caricatures de l’American way of life qui faisait rêver une Europe ne se relevant qu’à peine de la guerre !

 

Couleurs en technicolor serait-on tenté de dire. Composition ultra-léchée. Pubs cigarettières notamment. Et un climat de béatitude tellement niaise qu'on pourrait y lire comme du 2e degré ?

 

NB Pour une vision plus complète de cette partie de son oeuvre voir la Georges Eastman House et Flickr

Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo
Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo
Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo
Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo

Même Marilyn n'échappe pas tout-à-fait à ce style trop léché.

Nickolas Muray, amant de Frida Kahlo
Nickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida KahloNickolas Muray, amant de Frida Kahlo

Mais, sa rencontre avec Frida Kahlo, les portraits qu’il fait d’elle, quel que soit le jugement que l’on porte sur le reste de son œuvre, le consacrent comme un grand photographe.

Sur la 3e photo à côté de Frida et Nick, la soeur et rivale de Frida, Cristina, et Rosa CovarubbiasSur la 3e photo à côté de Frida et Nick, la soeur et rivale de Frida, Cristina, et Rosa Covarubbias
Sur la 3e photo à côté de Frida et Nick, la soeur et rivale de Frida, Cristina, et Rosa Covarubbias

Sur la 3e photo à côté de Frida et Nick, la soeur et rivale de Frida, Cristina, et Rosa Covarubbias

"Quand Frida rencontre Nickolas Muray (sans doute à Mexico), il est l'un des photographes les plus en vogue de New York, qui a photographié les femmes et les hommes les plus célèbres du moment, de Lilian Gish à Gloria Swanson, de D.H. Lawrence à Johnny Weissmuller. Il est grand, mince, athlétique - il a été deux fois champion de sabre des Etats-Unis - avec ce visage aristocratique que Frida avait aimé jadis chez son "fiancé" Alejandro Gomez Arias. Il est tout de suite séduit par Frida Kahlo, par sa beauté exotique, par cette flamme qui brille dans ses yeux charbonneux, par son esprit pétillant, juvénile, par sa provocation continuelle. […]

Elle est très amoureuse de cet homme si élégant, si sûr de lui. Après le petit déjeuner  au restaurant du Barbizon, elle l’accompagne au studio de McDougal Street, et c’est là qu’il fait un de ses plus beaux portraits - Frida debout, drapée dans un rebozo magenta, coiffée de ses tresses mêlées de laine à la manière indienne ; elle pose avec une expression apaisée, un peu alanguie, qu'on ne lui a jamais connue auparavant. Cet amour sans contraintes, qu'elle devine aussi sans lendemain, est sans doute l'un des souvenirs les plus heureux de sa vie, le seul moment où elle retrouve pour quelques semaines la liberté et l'insouciance du temps des Cachuchas, le temps d'avant l'accident du marché San Juan. Pour lui, elle devient Xochilt (Fleur), son double rêvé, venu du monde indien, libéré de toutes les contradictions et médiocrités de la vie moderne. Pour elle, il est son Nick – sa vie – son enfant.” 

J. M. G. Le Clézio Diego et Frida STOCK p. 166-167

 

Si la photo que cite Le Clézio est magnifiquement composée, ce qui fait aussi le charme du témoignage photographique de N. Muray sur son amante ce sont des clichés sur le vif, certains comme volés, comme ces deux-là pris au réveil de Frida :

Quelques photos de Frida par Nickolas Muray

Leur liaison commencée en mai 1931, alors que Muray venait de divorcer, aura duré près de dix ans. Elle a atteint son point culminant quand Frida est venue poser dans son studio pour la fameuse photo au rebozo magenta. Après le divorce de Frida et Diego Rivera, Muray voulait l’épouser. Mais quand il fut évident qu’elle voulait de lui comme amant et non comme époux, ce fut une rupture sereine. Ils restèrent amis jusqu’à la mort de Frida, en 1954.

 

Lui, s’éteindra en 1965.

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 18:01

 

 

Edward Weston - Tina Modotti lying on the Azotea

 

Ouvrière, mannequin, actrice et modèle, photographe, militante ; immigrée, extradée, clandestine ; amie de Frida Kahlo, de Neruda et combien d'autres célébrités, mais le plus fidêle sera Manuel Alvarez Bravo, le seul qui l'accompagnera quant elle fut expulsée du Mexique.

 

ModottiNée à Udine en Italie en 1896, elle débute sa scolarité en Autriche, avant de revenir à Udine en 1905 et reprendre le primaire… en italien. Le père migre aux Etats-Unis avec la fille aînée, en 1908. Avec sa mère, c’est elle qui fait vivre le reste de la famille (4 frères et sœurs) en travaillant dès 14 ans dans le textile.

 

En 1913, elle rejoint son père à San Francisco. La petite couturière du magasin de mode, en devient vite le mannequin. De mannequin elle devient actrice : opérettes puis cinéma, petits rôles, puis premiers rôles. Elle épouse, en 1917, un peintre au nom impossible, Roubaix de l’Abrie Richey (dit « Robo »), qui va introduire la petite immigrée dans le monde l’art et de l'amour libre.

A Los Angeles, le couple rencontre un photographe déjà célèbre, Edward Weston dont elle devient modèle puis maîtresse.

Robo, parti dans un Mexico bouillonnant de fièvre révolutionnaire y attrape  la variole. Tina arrive à Mexico en 1922 deux jours après son décès.

Le faux mariage de Tina Modotti et Edward Weston à Mexico en août 1924

Elle y revient avec Weston en 1923. C’est elle, dit-on, qui présenta Frida Kahlo à Diego Rivera. A Mexico elle croisera aussi D.H. Lawrence et Vladimir Maïakovski. De modèle elle devient, elle-même photographe, formée par son amant avec qui elle va rompre en 1926. Elle sympathisera avec Manuel Alvarez Bravo qui deviendra son plus fidèle ami.

tinamodotti el machete

Elle s’engage dans le Parti communiste, collaborant avec El Machete, le journal du parti communiste mexicain, tout en menant une activité photographique plus formelle, mais aussi, dans le studio que Weston lui a laissé, des travaux alimentaires.

 

Le roman de sa vie prend une tournure tragique avec l’assassinat, en 1929, de son jeune compagnon, Julio Antonio Mella, communiste Cubain et rédacteur en chef d’El Machete, en pleine rue, à ses côtés. L’enquête policière va la salir. Le pouvoir mexicain se lance dans une répression anti-communiste : en 1930, elle est arrêtée puis extradée.

 

Berlin d’abord puis Moscou. Elle abandonne la photo pour se muer en agent du Secours Rouge International.

En 1936, elle est à Madrid, aux côtés de son compatriote Vidali, agent du Komintern : défense de Madrid, organisation de l’aide internationale, voire même garde du corps de Dolores Ibárurri, La Pasionaria ! Mais elle se consacre surtout au Secours rouge.

La chute de Barcelone en 1939, la fait fuir en France toujours avec Vitali. Elle va finalement se retrouver à Mexico sous une fausse identité ; Vidali va la rejoindre. Elle rompt avec le PC après le pacte germano-soviétique. En 1940, son ordre d’extradition est levé, elle peut reprendre son identité et renouer avec ses amis. Mais, nouveau coup de théâtre son compagnon Vidali est arrêté car soupçonné d’avoir trempé dans l’assassinat de Trotsky*. Un de ses derniers réveillons se passera chez un jeune poète chilien, Pablo Neruda.

 

Elle n’avait que 45 ans – mais elle avait vécu mille vies – quand elle meurt d’une crise cardiaque le 6 janvier 1942.

 

* Sur l'assassinat de Trotsky (et la guerre d'Espagne) voir L'homme qui aimait les chiens de Léonardo Padura

 

Pour compléter cette brève évocation : « Une vie solarisée » (trois articles richement illustrés)

 

 

Quelques nus de Weston

Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.

Quelques photographies de Tina Modotti

Lee Miller

Lee Miller

Tina Modotti : Une vie comme un roman.

Frida Kahlo et Diego Rivera en tête du défilé du 1er mai

Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
Tina Modotti : Une vie comme un roman.
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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 18:37

Malvarez-bravo 01

ManuelAlvarezBravoManuel Álvarez Bravo, 1902-2002, un centenaire qui a développé son œuvre pendant 80 ans. Ce grand artiste mexicains se décrivait comme « un photographe du dimanche », prétendant poser son appareil sur un trottoir et attendre patiemment qu’une image intéressante se présente devant son objectif.

 

A ses débuts, il a côtoyé Edward Weston et Tina Moddotti. Il fréquentait Diego Rivera et Frida Kahlo. Il photographia le muraliste aux côtés de Léon Trotsky et d’André Breton. Il fut l’ami d’Henri Cartier-Bresson avec qui il exposa à New-York et Mexico. Il a également collaboré avec le cinéaste Luis Buňuel, comme photographe de plateau.

 

Le remarquable site qui lui est consacré donne un aperçu de son art par décennie.

 

Voilà ce qu’en écrivait, André Breton : « Tout le pathétique mexicain est mis par lui à notre portée: où Alvarez Bravo s'est arrêté, où il s'est attardé à fixer une lumière, un signe, un silence, c'est non seulement où bat le coeur du Mexique mais où encore l'artiste a pu pressentir, avec un discernement unique, la valeur pleinement objective de son émotion ».

 

« La technique rigoureuse et précise (de la photographie) était sans doute celle qui menaçait le moins de s’interposer entre sa sensibilité et son œuvre. Une poésie discrète et profonde, une ironie désespérée et fine émanent des photos de Manuel Alvarez Bravo, comme les particules suspendues dans l’air qui rendent visible un rayon de lumière pénétrant dans une chambre obscure », disait Diego Rivera.

 

Les images qui suivent sont une sélection  arbitraire et très partielle. Reportez-vous au site pour aller des années vingt aux années nonante, en passant par les années trente, quarante, cinquante, soixante, septante et octante.

 

 

manuelalavarezbravo Peluquero

 

 

Manualalavarezbravo Instrumental

 

 

facade

 

 

foto Manuel Alvarez Bravo 26

 

 

Manuel Alvarez Bravo 4

 

Charlie Chaplin

 

 

Manuel Alvarez Bravo Señor de Papantla 1934

 

 

Manuel Alvarez Bravo 05

 

manuelalvarezbravo optico

 

 

 

yalalag

 

 

Manuel Álvarez Bravo.Tamayo

 

foto Manuel Alvarez Bravo 12

 

 

 

 

alvarez-bravo-mauel-000

Cliquer sur l'image pour voir un petit montage de nus

 

 

 

 

 

Pour compléter :

Manuel Alvarez Bravo

Cent ans de sollicitude

Autoportrait

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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 17:50
Frida Kahlo

 

Quel destin que celui de Frida Kahlo !

Poliomyélite à huit ans. Grave accident – le bus qu’elle emprunte heurte un tramway, une barre de métal lui perce abdomen et vagin, surtout elle est gravement atteinte à la colonne vertébrale – à 18 ans.

 

Elle sera souvent et longtemps alitée, subira de nombreuses interventions chirurgicales et souffrira le martyr toute sa vie.

 

 

 

 

 

 

Mariée à 21 ans avec Diego Rivera de vingt ans son aîné, peintre célèbre notamment pour ses immenses fresques murales, elle découvrira après une troisième fausse couche qu’il la trompe avec sa sœur !

 

Lettre à Diego Rivera

 

 

 

 

 

 

Divorcée, elle se remariera… avec lui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle aura,entre temps, une liaison passionnée avec Léon Trotsky, qui aura trouvé l’asile politique au Mexique grâce à Diego Rivera et logera dans la maison bleue des parents de Frida, mais, membre du PC mexicain, elle peindra des portraits de Staline et restera indéfectiblement stalinienne jusqu’à sa mort en 1954.

 

Elle sera incinérée, à sa demande : " Même dans un cercueil, je ne veux plus jamais rester couchée ! "

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

Pour compléter,un ami me signale un site (en anglais et espagnol) : http://www.fridakahlofans.com/indexspanish.html

Il a acheté (sur Amazon.com  car introuvable en France) le catalogue (en anglais et imprimé ...en Chine !) de l'exposition du musée de Mexico (Instituto nacional de bellas artes) organisée à l'occasion du centenaire de sa naissance (1907) (Frida Kahlo : National homage 1907-2007 par Salomonn Grimberg and Co) comprenant une analyse des tableaux exposés.
Autre site, avec des photos d'enfance et de jeunesse de Frida Kahlo, malheureusement non légendées : The life and times of Frida Kahlo
 
Son amant Nickolas Muray a fait d'elle de magnifiques portraits, mais a aussi laissé des photos prises sur le vif.
 
Tina Modotti qui fut son amie-amante - elle partageait son engagement communiste - a laissé d'elle quelques portraits ainsi que Manuel Alvarez Bravo.

Ci-dessous avec  Nickolas Muray

Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo

Avant Nickolas Muray, elle eut aussi pour amant le galeriste et photographe New-Yorkais Julien Levy qui a fait une séquence sur Frida se coiffant, buste nu.

Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo

Quelques oeuvres de Frida Kahlo (vidéo téléchargeable, ci-dessous)

Quelques images de Frida Kahlo

Frida KahloFrida KahloFrida Kahlo
Frida KahloFrida KahloFrida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
Frida Kahlo
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