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5 juillet 2015 7 05 /07 /juillet /2015 17:15
GPA : Sylviane Agacinski vs Robert Badinter

Dans sa croisade fanatique contre la gestation pour autrui, Mme Agacinski, épaulée par MM Bové et Onfray, demande son interdiction sur toute la planète. Cela même dans la version altruiste où il n’y a pas échange d’argent. Elle condamne donc Robert Badinter qui, avec la complicité de Michèle André, a déposé au Sénat en Janvier 2010 une proposition de loi tendant à autoriser et encadrer la GPA.

Le texte co-signé par Yvette Roudy ou Marina Vlady, en sus du philosophe de comptoir bas-normand, ne brille pas par la qualité de son argumentation. Ni de son honnêteté intellectuelle. Il ne mentionne la GPA telle qu'elle a cours notamment en Belgique ou au Royaume-Uni qu’incidemment et donne, sur deux longs paragraphes, dans le grand guignol sur les affreux risques encourus par les gestatrices ou les donneuses* – baptisées vendeuses – d’ovocytes.

Les malheureuses ne risquent pas moins que des maux aussi fréquents que la torsion ovarienne, le kyste ovarien, la ménopause précoce, des caillots sanguins, évidemment une tumeur cancéreuse, voire la mort !

Quant aux enfants, ils risquent eux une naissance avant terme, un décès à la naissance, un poids insuffisant à la naissance, des malformations du fœtus et une pression artérielle élevée.

Tout cela reposant sans doute sur des études scientifiques solides !

   Or, une PROPOSITION DE LOI tendant à autoriser et encadrer la gestation pour autrui, enregistrée à la Présidence du Sénat le 27 janvier 2010 a été co-signée elle par Robert Badinter et par Michelle André.

Elle était le fruit d’une commission qui avait organisé une cinquantaine d'auditions ainsi qu'un déplacement au Royaume-Uni où une instance recueille les demandes et les accepte ou non en fonction des situations et fixe le dédommagement à donner à la gestatrice. Dédommagement tenant compte des frais occasionnés et non rémunération.

GPA : Sylviane Agacinski vs Robert Badinter

A l'époque l'UMP (devenu LR) participait donc aux travaux et Mme Morano se sentait même une vocation de "mère porteuse"

L’exposé des motifs rappelait d’abord que la maternité pour autrui constitue probablement une pratique séculaire permettant de remédier à l'infertilité d'une femme**.

Il constatait que depuis une vingtaine d'années, les techniques d'insémination artificielle et de fécondation in vitro permettent (…) à une femme de porter un enfant conçu en dehors de tout rapport charnel, avec les ovocytes d'une autre femme. Ainsi, ces nouvelles connaissances, qui donnent la certitude de la filiation biologique, permettent également de contredire les règles de la nature et contraignent à raisonner autrement en matière de filiation, non plus à partir de ces règles, mais à partir de principes éthiques.

On distingue ainsi la procréation pour autrui de la gestation pour autrui : dans le premier cas, la femme qui porte l'enfant est sa mère génétique ; dans le second, elle n'en est que la gestatrice, l'enfant ayant été conçu avec les gamètes du couple demandeur ou de tiers donneurs.

Il constatait aussi qu’en dépit de la prohibition de la GPA en France, des couples confrontés à la stérilité de la femme (certaines évaluations font état de 400 couples par an) n'hésitent pas à se rendre à l'étranger, dans les pays où la maternité pour autrui est légale ou tolérée. Il revenait sur le sort des jumelles qui a été ensuite, en principe, tranché par la CEDH, mais qui n’avaient pu être inscrites à l’état civil : la question reste posée du devenir des jumelles mais aussi de tous les enfants nés dans ces conditions qui ne pourront pas être les enfants de leur mère, celle qui les a voulus et sans la volonté de laquelle ils ne seraient pas nés. Avec toutes les conséquences qui peuvent en résulter, au-delà des règles de droit sur leur développement psychique et leur devenir d'adulte.

Pour l’essentiel la proposition de loi autorisait la GPA dans des conditions strictes proches de celles du Royaume uni : « Peut seule porter en elle un ou plusieurs enfants pour autrui, la femme majeure, domiciliée en France et ayant déjà accouché d'un enfant au moins sans avoir rencontré de difficulté particulière durant la grossesse puis l'accouchement.  Une femme ne peut porter pour autrui un enfant conçu avec ses propres ovocytes. » « « La mise en relation d'un ou de plusieurs couples désireux de bénéficier d'une gestation pour autrui et d'une ou de plusieurs femmes disposées à porter en elles un ou plusieurs enfants pour autrui ne peut donner lieu ni à publicité ni à rémunération. » « Le juge fixe la somme que les membres du couple demandeur doivent verser à la femme qui portera en elle un ou plusieurs enfants pour leur compte afin de couvrir les frais liés à la grossesse (…) Aucun autre paiement, quelle qu'en soit la forme, ne peut être alloué au titre de la gestation pour autrui» (NB c’est moi qui met en gras).

     Parmi les signataires : outre Robert Badinter on notait donc Michèle André ex secrétaire d'État, chargée des droits des femmes et de l'égalité des chances entre les hommes et les femmes, dans le gouvernement Michel Rocard du 23 juin 1988 au 15 mai 1991 ; Jean-Pierre Bel qui deviendra en octobre 2011 Président du Sénat ; Claire-Lise Campion qui fut la suppléante du Sénateur PS Jean-Luc Mélenchon, avant de devenir elle-même sénatrice ; Didier Guillaume, actuel Président du groupe socialiste du Sénat ; Bariza Khiari ex-membre de la Délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes ; Claudine Lepage membre de la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes ; Roger Madec qui qualifiait déjà en janvier 2013 la démarche de  Mme Agacinski anti adoption pour les couples homosexuels  de récidive rétrograde ; Jean-Pierre Michel ex-secrétaire général du Syndicat de la magistrature, qui assume et va plus loin «Je suis pour la GPA pour tous les couples» ; François Rebsamen, actuel Ministre du travail ; Dominique Voynet ex-ministre de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement…

Autant, pour Mme Agacinski et consorts, d’abominables défenseurs, de partisans éhontés d’une violation des droits humains des femmes et des enfants. Et non contents de cela les croisés de l’anti-GPA nient le droit des enfants qui en sont issus être inscrit à l’état civil. "Inscrire à l'état civil les enfants nés par GPA serait un scandale" s’écrie la passionaria « Il leur manque la nationalité mais ils ont une vie familiale normale. Ils n'ont pas de problème pour la sécurité sociale ou l'école et rien n'empêchera le droit français de leur délivrer des attestations qui régleront les autres questions. » ajoute-t-elle avec un cynisme assumé.

    Or, comme le rappelait la CEDH Les enfants concernés « n’ont pas de passeport français, n’ont pas de titre de séjour valable (même si elles sont protégées de l’expulsion par leur minorité), et pourraient se heurter à l’impossibilité de l’obtenir et donc de bénéficier à leur majorité du droit de vote et de séjourner sans condition sur le territoire français, et pourraient se trouver empêchées d’entrer dans la succession [de leurs parents]; de plus, en cas de décès du [père] ou de séparation, la [mère de fait] se verrait privée de tout droit sur les enfants, à leur préjudice comme au sien ; à l’occasion des démarches administratives où la nationalité française ou la filiation sont exigées (l’inscription des enfants à la sécurité sociale, à la cantine scolaire ou au centre aéré ou des demandes d’aides financière auprès de la caisse d’allocations familiales), ils doivent produire l’acte d’état civil [étranger] accompagné d’une traduction assermentée pour prouver la filiation et sont livrés au bon-vouloir de leurs interlocuteurs

 

Ces enfants qui, comme tous les enfants d’ailleurs, ne sont absolument pour rien dans les conditions de leur naissance doivent donc, pour Mme Agacinski, être punis parce que leurs parents ont contrevenu à la loi en vigueur en France. Ils sont en fait considérés par nos croisés comme des bâtards des temps modernes, enfants de seconde zone, voire des marchandises de contrebande.

 

Derrière les grands principes, l’inhumanité !

 

* Nos signataires ne mentionnent pas les donneurs/vendeurs(?) de sperme qui risquent eux la surdité (France) ou la cécité (Espagne).

** Dans Intouchables, Driss, le personnage interprété par Omar Sy, est, apprend-on, fruit de cette pratique séculaire : il a été donné par la sœur à sa mère officielle qui se croyait infertile, mais qui aura ensuite ses propres enfants.

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 17:31
GPA et droit de l’enfant

Dans un texte, que cosigneraient facilement Mmes Boutin, de la Rochère ou Bourges, inspiré par Mme Agacinski qui fait concurrence à Jeanne-Emmanuelle Hutin dans les colonnes de Ouest-France, MM Delors et Jospin, Mmes Roudy et Notat, entre autres, lancent un appel au Président de la République, contre un arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) qui oblige la France à respecter  l’article 18 de son propre code civil : Est français l'enfant  dont l'un des parents au moins est français.

 

Avec une grande honnêteté intellectuelle, il est question « d’acheter un bébé à l’étranger » dans « un marché des bébés » que l’on se fait « livrer » par des « mères porteuses » dont les « droits sont bafoués ». Il faut donc, disent-ils s’opposer par le droit aux « contrats de mères porteuses. Sauf que le droit auquel ils s’opposent c’est bien celui de l’enfant à être inscrit sur l’état civil, comme étant bien le fils de son père (voire de sa mère).

Car si l’on revient au texte de l’arrêt de la CEDH, les faits n’ont qu’un rapport lointain avec le brûlot de nos vertueux signataires.

GPA et droit de l’enfant

En résumé, un couple, après des tentatives de fécondation in vitro avec leurs propres gamètes, l’infertilité de la mère ayant été constaté, décide donc d’une fécondation in vitro d’un ovule issu d’un don et l’implantation des embryons fécondés dans l’utérus d’une autre femme. Tout cela en Californie. La "mère-porteuse" n’était pas rémunérée mais seulement défrayée. Mariée à un cadre et cadre elle-même, elle disposait de ressources bien supérieures au couple français, et elle agissait par solidarité.

 

Manque de pot, il se trouve qu’un employé du consulat français de Los Angeles, arbitrairement – mais c’est une habitude fréquente dans nos consulats, et nos amis Marocains humiliés dans leur demande de visa pourraient en témoigner, que de faire preuve d’arbitraire – refuse d’inscrire les jumelles à l’état-civil. Résultat, les deux petites qui n’ont même pas mis les pieds aux Etats-Unis – elles ne savaient pas encore marcher quand elles ont pris l’avion pour la France – sont états-uniennes, bien que leur père, c’est sûr, soit Français.

 

Ces jumelles de père Français, de mère biologique inconnue, n’ont pas la nationalité française, « n’ont pas de passeport français, n’ont pas de titre de séjour valable (même si elles sont protégées de l’expulsion par leur minorité), et pourraient se heurter à l’impossibilité de l’obtenir et donc de bénéficier à leur majorité du droit de vote et de séjourner sans condition sur le territoire français, et pourraient se trouver empêchées d’entrer dans la succession [de leurs parents]; de plus, en cas de décès du [père] ou de séparation, la [mère de fait] se verrait privée de tout droit sur les enfants, à leur préjudice comme au sien ; à l’occasion des démarches administratives où la nationalité française ou la filiation sont exigées (l’inscription des enfants à la sécurité sociale, à la cantine scolaire ou au centre aéré ou des demandes d’aides financière auprès de la caisse d’allocations familiales), ils doivent produire l’acte d’état civil américain accompagné d’une traduction assermentée pour prouver la filiation et sont livrés au bon-vouloir de leurs interlocuteurs. »

 

Parents 'coupables', enfants punis !

 

Autrement dit, ce qu’a souligné cet arrêt de la CEDH, c’est que ce sont les enfants qui sont sanctionnés, pour une fraude à une loi qu’ils n’ont à l’évidence pas commise. « Il est concevable que la France puisse souhaiter décourager ses ressortissants de recourir à l’étranger à une méthode de procréation qu’elle prohibe sur son territoire. Il résulte toutefois (…) que les effets de la non reconnaissance en droit français du lien de filiation entre les enfants ainsi conçus et les parents d’intention ne se limitent pas à la situation de ces derniers, qui seuls ont fait le choix des modalités de procréation que leur reprochent les autorités françaises : ils portent aussi sur celle des enfants eux-mêmes, dont le droit au respect de la vie privée, qui implique que chacun puisse établir la substance de son identité, y compris sa filiation, se trouve significativement affecté. Se pose donc une question grave de compatibilité de cette situation avec l’intérêt supérieur des enfants, dont le respect doit guider toute décision les concernant. »

GPA et droit de l’enfant

Peut-on rappeler aux signataires de ce texte qui dénonce cette « industrie de l’enfantement sur commande », qu’une proposition de loi sénatoriale, visait à autoriser et encadrer la gestation pour autrui ? Elle était signée notamment par un ancien Garde des Sceaux dont le nom reste attaché à une des plus grandes lois de la Ve République, Robert Badinter. L’exposé des motifs faisait d’ailleurs clairement allusion au cas traité par la CEDH*. Il mentionnait aussi des cas légaux de mères porteuses, dans le cadre de PMA : « les techniques d'insémination artificielle et de fécondation in vitro permettent en effet à une femme de porter un enfant conçu en dehors de tout rapport charnel, avec les ovocytes d'une autre femme ». Il relativisait l’ampleur de cette prétendue industrie. La proposition ne portait que sur les couples de sexes différents.

Cette « Lettre au Président de la République » par son outrance – comment oser parler de traite des êtres humains, quand il s’agit comme au Royaume-Uni d’une pratique strictement encadrée avec des mères porteuses volontaires et non rémunérées – vise à interdire tout débat. Peut-on avec Mesdames Michèle André ou Claudine Lepage, voire Najat Vallaud-Belkacem**, qui estimait que « la gestation pour autrui peut constituer un véritable don », penser que la légalisation de la GPA n’est pas une question taboue. Et ne mérite pas d’être traitée de manière aussi caricarurale !  

 

* « L'arrêt de la Cour d'appel de Paris du 25 octobre 2007 qui avait validé la transcription sur les registres de l'état civil français des actes de naissance américains de jumelles nées en Californie en application d'une convention de gestation pour autrui a été récemment cassé par un arrêt de la Cour de cassation du 17 décembre 2008. »

 

** Sévérement attaquée pour un rapport sur ce sujet, elle a fait depuis machine arrière : à la manoeuvre Jospin déjà...

 

 

ANNEXE

Sylviane AGACINSKI dans un livre de 2009 Corps en miettes, pulvérise la fameux Point Godwin : «On peut se demander si la leçon du nazisme a réellement été tirée tant l’opinion semble se soucier peu de ce que signifie notre humanité ou de l’esprit de nos lois. Elle privilégie la puissance technique et la demande individuelle. Certaines techniques permettent de confectionner des enfants, et il y a des individus qui "demandent" à utiliser ces moyens. Le reste a-t-il vraiment de l’importance ?»

Faut-il lui rappeler que l'Holocauste n'avait pas pour but de 'confectionner des enfants' mais de les détruire et que son propos condamne aussi toutes les techniques d'aides médicales à la procréation ?

L'excellent Journal d'un avocat, un an après cet article, commente lui deux décisions de la cour de cassation allant dans le même sens que celle de la CEDH : Peu importe ta naissance, petit Français

 

La conclusion rejoint les attendus du CEDH :

 

"Deux questions qui sont souvent revenues chez mes chers lecteurs : la loi Taubira du 17 mai 2013 sur le mariage entre personnes de même sexe a-t-elle pavé la voie à cette reconnaissance de la GPA ? En rien. Elle n’est pas concernée. La CEDH a été saisie de la question les 6 octobre 2011, soit à l’époque où Nicolas Sarkozy était président. Et le refus de transcription était aussi opposé aux couples hétérosexuels.

Ces arrêts légalisent-ils la GPA en France ? Non, en rien. Ils interdisent simplement de sanctionner les enfants nés par GPA. Le droit français ne connaît plus d’abominations qui n’auraient jamais dû naître. On respire un peu mieux, malgré la canicule.

Un détail qui a totalement échappé aux commentateurs négatifs de cette décision, qui avant même de se donner la peine de lire ces arrêts ont récité leur vulgate sur la marchandisation du corps et la réification de l’enfant (ils disent objetisation mais moi je parle français). Dans les deux cas, la mère figurant à l’état civil était la mère porteuse. Celle qui avait accouché. Bref, celle-là même que les plus farouches opposants à la GPA désignent comme étant la seule mère possible*. Faut-il être aveuglé par l’idéologie.

Deux exemples, provenant de personnalités qui ne sont pas de second plan. Jean-Frédéric Poisson, député des Yvelines, a tweeté que “la Cour de cassation rétablit l’esclavage dans notre pays. Il faut absolument abroger la loi Taubira”. Je n’en dis pas plus sur l’absurdité et la bassesse de ce message, qui, je crois, va être couronné sous peu par l’Académie Busiris.

Marie-Anne Frison-Roche, professeur de droit, enseignante à Sciences Po, tout de même, qui commente : “L’attristant dans les arrêts du 3 juillet ? le silence.Les femmes n’y sont pas. La Cour le dit: peu importe la GPA. Les femmes sont effacées.” Non seulement elles ne sont pas effacées, mais en l’occurrence, elles figurent sur l’acte d’état civil comme mère des enfants concernés, aucune adoption n’ayant eu lieu par la suite, et sont mentionnées dans les arrêts (à 3 et 4 reprises, respectivement). Les femmes méritent le respect, et la réalité, tout autant.

 

* A noter que la gestatrice porte un embryon qui lui est biologiquement totalement étranger (d'où d'ailleurs des risques de rejet comme pour une greffe) et c'est donc un peu abusivement qu'on emploie le mot mère.

 

Arrêt n° 619 du 3 juillet 2015 (14-21.323)

Arrêt n° 620 du 3 juillet 2015 (15-50.002)

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