C’était en mars 2010. Nick Walter, un as du graffiti chez les rosbifs, ornait un mur du Canal Saint-Martin d’une magnifique fresque de 4 mètres intitulée Corancan. (A cette époque la fameuse loi sur l’interdiction du casque – pardon du voile – intégral n’était pas encore votée, et depuis cette œuvre qui eût méritée d’être sauvegardée – Jack Lang l’aurait même classée - a été bêtement détruite).
Cet artiste de la rue, qui travaille à l’aide de pochoirs, non content de donner sa vision d’une intégration du niqab dans la culture française, avait bafoué notre Joconde en lui faisant trousser ses jupes ou en la métamorphosant en Marge Simpson.