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3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 22:09

Des chemins de croix aux stations de l’amour

Cet artiste belge – peintre, bédéiste (avant que le mot n’existe), graveur, illustrateur prolifique – rejoint la cohorte des dessinateurs pour enfants et jeunes qui, en parallèle, illustrent des ouvrages du 2e rayon.

Né en 1899 à Liège, il étudie à l’Académie des Beaux-Arts de le ville où il y apprend la gravure. Il se liera d’amitié avec le romancier Georges Simenon(dont il illustrera le premier roman, Au pont des Arches, signé Georges Sim). En 1916, il remporte la « médaille du gouvernement » pour un dessin intitulé « Ste Geneviève ravitaillant Paris assiégé ». Il sera également deuxième du « Prix de Rome ».

Comme peintre, son œuvre est variée, passant un moment du figuratif à l’abstrait.

Luc Lafnet
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Luc Lafnet
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Il va devenir un peintre très apprécié de l’église catholique avec des fresques ornant les chapelles, des chemins de croix, de saintes peintures !

Ses chemins de croix et ses oeuvres décoratives ornent les murs de plusieurs églises de Paris et de la banlieue. Citons, pour exemple, la chapelle de l'hôpital Saint-Jean, la chapelle du monastère de la Chaume à Port l'Abbé et il réussit magnifiquement la décoration de l'hôpital de Saint-Jean d'Angely, en Charente et, en Vendée, encore, ses travaux font autorité dans plusieurs églises et chapelles.

Luc Lafnet (1899-1939), un oublié des années trente

Luc Lafnet
Luc Lafnet
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L'antéchrist

L'antéchrist

Sous le pseudonyme de Davine (qu’il partagea avec Blanche Dumoulin) il créa une variétés de bandes dessinées pour enfants : « Ric et Rac », «Guignol» et «Pantagruel» pour Fillette en 1934 ; « Bizouk et Pélik » (1936-1938) pour Le Journal de Bébé, « Moustique Reporter » (1937) dans Le Bon Point et « Les Aventures de Zizette » (1938-1939) dans Spirou.  

Luc Lafnet
Luc Lafnet
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Il collabore, en effet, dès le départ, avec les créateurs de Spirou, Blanche Dumoulin et son mari français Robert Velter. Il y illustre « Bibar et Triban » de Velter. Mais il se peut même que ce soit lui qui ait dessiné la toute première apparition de Spirou en première page du premier numéro le 21 avril 1938 ! Le peintre vedette qui a littéralement donné vie à Spirou  avec son "eau de vie" dans la première page de Spirou aurait pu être un autoportrait de Lafnet, car Français Velter lui-même était déjà très occupé avec ses bandes dessinées pour la presse française («Toto», «Monsieur Subito»), (d’après Marc Renwart - art-info.be

Luc LafnetLuc Lafnet

On comprend que pour ne pas scandaliser ses clients évêques, curés ou prieurs, il a utilisé des pseudonymes variés - Grim, Jim Black, Lucas O, Rich, Pol ou Viset - pour ses illustrations d’ouvrages fort peu pieux, même si on y trouve parfois nonnes, moines et autres membres du clergé.

Luc Lafnet
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Il est sûr que les commandes de chemins de croix auraient connu un coup d’arrêt si les ecclésiastiques avaient vu les eaux fortes illustrant des Etreintes sacrilèges !

Luc Lafnet
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Dans ses commandes licencieuses figurent des ouvrages d’un genre très prisé, la flagellation et notamment ceux de la célèbre collection des Orties blanches. Dans ces illustrations fouetteuses, il côtoie d’éminents collègues dont on trouve quelques exemples en complément de La Fessée.

Luc Lafnet
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Luc LafnetLuc Lafnet
Luc LafnetLuc Lafnet

Dans cette abondante production, on trouvera « Les confidences d’un baronnet », « Esclave amoureuse : roman sur la flagellation de la petite fille, de la maîtresse et de l’épouse »,  « Poker de dames », « Dresseuse d’hommes », « Les geôles de dentelles ».

Il illustrera aussi « Les caprices du sexe ou les audaces érotiques de Mademoiselle Louise de B… » signé Louise Dormienne  et communément  attribué à Renée Dunan, dont on trouvera de larges extraits illustrés ici

Luc Lafnet
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On trouve aussi « Les souvenirs d’une cocodette » ou « Mémoires d’une demoiselle de bonne famille, rédigés par elle-même, revus, corrigés, élagués, adoucis et mis en bon français par Ernest Feydeau » (le père de Georges).

Luc Lafnet
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Théophile Gautier a écrit les Lettres à la présidente dans les années 1850, lors d'un voyage en Italie. Les douze illustrations de Lafnet démontrent une grande maîtrise technique.

Luc Lafnet
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« L'école des biches, ou mœurs des petites dames de ce temps » après avoir été illustrée par Lafnet fera aussi l’objet d’une BD de Georges Lévis.

Pour conclure quelques échantillons de cet art de l’illustration :

 

Tout d’abord avec un livre grivois, petit recueil de petites histoires salaces, « Histoires raides pour l'instruction des jeunes filles »

Luc Lafnet
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Les « Stations de l’amour » d’Adolphe Belot, roman épistolaire entre Cécile, fraîche épousée, et Léo, époux parti dans les Indes anglaises pour affaires, affiche une philosophie amoureuses des plus libres. Les époux s’autorisent à tout faire, à condition de tout se dire. Léo va tomber sur un trio de jeunes anglaises des plus délurées et Cécile va céder aux assauts de Thérèse, sa dame de compagnie et dépuceler un jeune adepte de l’aviron.

Luc Lafnet

Léo reçoit la visite de Dora et de Flora, amies anglaises.

[Dora] disparut dans mon cabinet de toilette. Au même instant, et tandis que j’étais resté anéanti sur la chaise longue, Flora sortit du lavatory, où elle était allée se purifier, et s’approcha de moi en souriant, avec une petite cuvette pleine d’eau parfumée et une éponge, en me disant gentiment : « Étendez-vous et laissez-mois faire… »

En même temps elle lavait monsieur Jacques qui, tout ratatiné, laissait piteusement pendre sa tête : elle promena l’éponge sur toute la longueur et sur les environs, sans oublier l’endroit où elle avait si à propos mis le doigt : bref, elle me fit une toilette complète que je subis, plongé dans une douce et parfaite béatitude. Cependant le contact de l’eau fraîche et de ses menottes caressantes avait rendu toute sa vigueur au cher instrument, qui commença à donner des signes non équivoques de résurrection. Flora déposa sa cuvette, et venant m’embrasser, toute joyeuse : « Là !… voilà qui est fait, dit-elle… Mais regardez comme il est beau ! On dirait qu’il est tout prêt à recommencer… Est-il joli avec sa petite tête rose !… »

Et se jetant sur lui, elle le prit entre ses lèvres, lui donnant de petits coups de langue, promenant celle-ci sur toute la longueur, essayant de mettre l’un après l’autre mes globes d’amour dans sa bouche trop petite ; puis, revenant au gland, elle l’absorba tout entier avec la colonne qui le supporte et se mit à le sucer doucement, comme pour mieux le savourer. Moi, pendant ce temps, j’avais passé une main dans sa chemise ouverte et je chatouillais les boutons de ses seins que je sentais durs et fermes.

Dora rentra à ce moment ; elle avait laissé sa robe dans le cabinet de toilette et n’avait plus que sa chemise.

— Eh bien ! c’est cela, fit-elle gaiement, on profite de mon absence pour s’amuser sans moi ! Dis donc, gourmande, ne mange pas tout, laisse-m’en un peu…

Luc Lafnet

Et passant rapidement, entre ses jambes, un mouchoir qu’elle avait eu la précaution de mettre sur le lit, elle reprit la position que je quittais à peine et recommença l’exercice lingual auquel je venais de me livrer, sans la moindre protestation de la part de Flora.

Dora, cependant, levait en l’air son superbe cul ; je fus tout de suite devant la porte qui se présentait et à laquelle Priape frappa impatiemment ; mais la lesbienne, passant rapidement la main par derrière elle, le remit dans le bon chemin.

Que te dirai-je, chère amie ?… Au bout de quelques minutes, nous nous pâmions de nouveau dans une triple jouissance, aussi intense que les précédentes… Dora sauta du lit la première et courut au cabinet de toilette.

Flora revint à elle et, quoique à moitié morte de plaisir, se précipita sur le pauvre Jacques, très affaibli, qu’elle mit dans sa bouche, pour en faire jaillir encore quelques gouttes : « C’est bon, fit-elle, en passant avec volupté sa langue sur les lèvres. Vous aimez aussi qu’on vous suce ? »

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Cécile découvre le clitoris de Thérèse

J’étais tellement énervée que je me dégageai de ses bras, et lui dis : « Montre-le-moi, Thérèse, ton… petit chose… ton clitoris… C’est un vrai petit membre… je ne l’ai pas bien vu, je veux le revoir… »

Aussitôt elle se mit debout, écartant les jambes en se retroussant. Je me mis à genoux devant elle, en m’exclamant : « Oh ! comme tu as du poil !… quel amour de chat !… »

Et je l’embrassai… Je pris son clitoris entre mes doigts ; au repos, il n’était guère plus gros que le mien, mais je le sentais s’allonger sous ma caresse : « Tiens, tu sens… il s’allonge… il remue… oh ! viens… que je le suce… »

Thérèse me saisit les cheveux à poignée, en s’écriant : « Oh ! non assez, assez !… tu vas me faire jouir !… »

Luc Lafnet

Apparaît Maud, très jeune amie de Dora et Flora

Je m’étais replacé sur la chaise longue, ma robe de chambre toute ouverte ; Flora s’était remise à mes pieds, me caressant les bourses, tandis que, de la main gauche, je lui pelotais les seins ; j’avais passé le bras droit autour de la taille de Maud, qui saisit mon membre à pleine main. « Oh ! regarde, Flora, comme il est redevenu gros et dur… Qu’il est beau !…

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[Dora] m’entraîna au fond de la serre, vers un petit tertre, couvert de mousse. Et la troussant aussitôt, je l’enfilai en levrette, quoique le pantalon nous gênât un peu.

Nous ne tardâmes pas à expirer de bonheur. Dora se releva et m’embrassant : « Ah ! fit-elle, ça m’a soulagée… Que c’est bon !… Flora, à ton tour… je vais veiller… »

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Cécile et Thérèse

N’en pouvant plus, je me renversai sur son lit, en lui disant : « Ta langue, ma chérie, ta langue… fais-moi mimi… bien doucement… »

La petite polissonne ne se fit pas prier et me lécha avec rage, au point que je dus la prier de ralentir son mouvement.

Quand nous eûmes terminé, quatre heures sonnèrent.

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Thérèse retrouve son ancienne patronne la Saint-Léon

Après ?… Je ne sais comment nous nous trouvâmes vautrées sur le lit, nous gamahuchant follement toutes les deux. Trois fois de suite nous jouîmes ensemble. Lorsque nous revînmes à nous, la Saint-Léon se leva et me dit : « Oh ! Thérèse, que j’ai joui !… que je t’aime !… J’en veux encore… viens me le mettre par devant, par derrière, partout… avec le godmiché, tu sais ?… »

Si je savais !… Je connaissais l’instrument qui avait servi bien des fois dans nos ébats ; j’allai tout droit à un chiffonnier où nous le serrions d’habitude. J’eus tôt fait de me l’attacher. Elle prit à peine le temps d’y introduire une décoction tiède de guimauve, et m’entraînant sur le lit : « Mets-le moi vite, baise-moi bien, fais-moi tout ce que tu voudras… »

Moi aussi, j’étais excitée. Cette bacchante ne me lâcha pas avant de se l’être fait mettre des deux côtés et de m’en avoir fait autant

Luc Lafnet

Dora a commencé mon portrait. En outre, elle fait à chacune de nos séances, comme intermède à nos plaisirs, un tas de petits croquis suggestifs : nous inventons des positions bizarres qu’elle enlève avec une maëstria étonnante, et dont elle fait des dessins pleins de vie (sans jeu de mots).

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Dora avait simplement un peignoir ouvert. Nonchalamment étendue sur une chaise basse, elle avait, pour dégager son front, rejeté sa longue chevelure dorée entièrement défaite par-dessus le dossier de la chaise, de sorte que l’extrémité en touchait le sol : elle fumait une cigarette, les yeux à demi fermés.

Tout à coup nous voyons Maud s’approcher de Dora par derrière, prendre et soulever ses cheveux dénoués, les étaler et les manier un instant, sans que notre belle amie, qui avait en face d’elle l’armoire à glace, parût s’en apercevoir ; puis, se mettant soudain à cheval sur cette chevelure, l’extrémité dans la main gauche, tout simplement… se branler sur la toison d’or.

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Cécile séduit le jeune Armand

Puisque j’avais entrepris l’éducation de mon élève, autant la mener à bonne fin et en tirer pour moi-même un résultat pratique… Nous avions encore quelques minutes devant nous ; je pris la main du novice amoureux et la glissai sous mes jupons.

Ce geste éloquent fit envoler toutes ses hésitations ; sa timidité disparut pour faire place à une ardeur charmante. D’un mouvement vif et continu, ses doigts grimpèrent le long de mes cuisses. Je sentis une main frémissante qui fourrageait mes poils, cherchant à tâtons le but désiré de son voyage ; j’écartai les jambes et m’avançai à sa rencontre. Ainsi aidé, son doigt trouva bientôt le point sensible ; après avoir plongé trop profondément dans la fente, il revint sur les bords et se mit à caresser un bouton impatient qui se consumait d’une ardeur dévorante. Quelques mouvements de sa main suffirent à me mettre hors de moi, sans avoir eu la force de lui exprimer autrement que par de petits cris étouffés le plaisir inouï qu’il me faisait ressentir.

Quand je rouvris les yeux, Adrien me fixait avec une curiosité inquiète, étonné sans doute du prompt résultat de sa manœuvre. Je l’embrassai avec transport, puis sans quitter ses lèvres entre lesquelles je pointais une langue affolée, j’entrouvris son pantalon et saisis à pleine main un épieu qui se dressait furieusement et qui me parut de belle taille.

J’avais à peine commencé un léger mouvement de va-et-vient, qu’un jet pressé en jaillit, si rapidement que je n’eus que le temps de coiffer l’indiscret de mon mouchoir pour préserver ma robe d’une inondation compromettante.

Luc Lafnet

Amalla est la petite servante de Dora

Amalla fit volte-face et me présenta sa bouche rose et fraîche. Je la pris sur mon autre genou, tandis que Dora, qui avait laissé sa main sur ma poitrine, descendait toujours plus bas, si bien qu’elle fit sauter le bouton de mon pantalon et qu’elle mit à l’air un objet devenu trop gros pour rester enfermé.

— Tiens, regarde comme il est beau, dit-elle en le balançant. Tu le connais déjà…

Puis elle ajouta quelques mots en bengali. Aussitôt la petite sauta à terre et, se mettant à genoux, elle commença à sucer mon priape avec une virtuosité qui promettait pour l’avenir. Dora s’approcha de mon visage et compléta, par une langue douce et pénétrante, les exquises caresses que me faisais sa petite élève.

Mais tout à coup, sentant ma respiration devenir haletante, Dora repoussa vivement Amalla : « Assez, petite, assez… Retiens-toi, mon chéri, tout est pour moi, aujourd’hui… Va, mon enfant, dit-elle à Amalla qui s’était relevée, je te promets que je te le donnerai tout entier un autre jour… Va !… » Et l’enfant disparut sans répliquer. Dora et moi nous nous rajustâmes. 1

Luc Lafnet

Si bien qu’Amalla revint à moi et se mit à me faire des langues ardentes, pendant qu’elle frottait son petit chat sur mon stylet, qui commençait à revenir à la vie. Au milieu de toutes nos caresses la pauvre enfant n’avait pas encore joui, et se tortillait sur moi. Je compris ses désirs : « Viens, mon petit chat, je vais te faire minette ».

Je t’ai dit que Dora ne lui avait jamais fait cette caresse et ne lui prêtait que le secours de son doigt. Me penchant à l’oreille de mon amie, je lui demandai tout bas : « Tu veux bien, chérie ?… elle est si gentille… »

Un sourire fut sa réponse : en même temps elle disait en bengali deux mots à Amalla, qui s’installait déjà sur ma bouche ; changeant aussitôt de position, elle se retourna, saisit mon priape à pleines lèvres, et nous commençâmes un double jeu que la chère enfant ne connaissait que de nom, mais qu’elle pratiqua, du premier coup, en maître. Au milieu de nos transports, Dora nous arrêta d’un geste ; « Arrêtez, mes chéris ; attendez, c’est trop vite fini… jouissez bien… vous êtes beaux… »

Et elle promenait du haut en bas sa main caressante sur le dos, les reins et les fesses de la mignonne. Quant à nous, nous ne ralentîmes nos mouvements que pour les activer bientôt, sous les yeux de Dora, aussi haletante que nous.

 

Pour compléter :

Quelques peintures de Lafnet (francisé alors qu'il est Belge) sur Artnet

Une liste des ouvrages érotiques qu'il a illustrés

Luc Lafnet

Davine, Lucan, Lafcat, Viset, Lucas O, Pol, Luc, Grim, Jim Black

 

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