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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 16:26

Les 12 victimes :

- Charb, de son vrai nom Stéphane Charbonnier, 47 ans, dessinateur, directeur de la publication de «Charlie Hebdo».
- Cabu, de son vrai nom Jean Cabut, 76 ans, dessinateur, pilier de «Charlie Hebdo» et du «Canard enchaîné», ancien du journal «Hara-Kiri», l’ancêtre de «Charlie Hebdo».
- Georges Wolinski, 80 ans, dessinateur, membre de la bande d’Hara-Kiri dans les années 1960 puis pilier de Charlie Hebdo.
- Tignous, de son vrai nom Bernard Verlhac, 57 ans, dessinateur, pilier de «Charlie Hebdo» et de «Fluide glacial».
- Bernard Maris, alias «Oncle Bernard», 68 ans, économiste, chroniqueur à «Charlie Hebdo» et sur France Inter.
- Honoré, 73 ans, dessinateur à «Charlie Hebdo».
- Michel Renaud, fondateur du Rendez-vous du carnet de voyage de Clermont-Ferrand, ex-directeur de cabinet du maire de la capitale auvergnate.
- Franck Brinsolaro, 49 ans, policier du service de la protection (SDLP), affecté à la protection de Charb.
- Ahmed Merabet, 42 ans, policier, membre de la brigade VTT du commissariat du XIe arrondissement.
- Mustapha Ourrad, correcteur.
- Frédéric Boisseau, agent d'entretien.
- Elsa Cayat, psychanalyste et chroniqueuse.

Après Charlie, faire bloc !

Prémonitoire hélas !

"Je n'ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. C'est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire, mais je préfère mourir debout que vivre à genoux"

Charb

Après Charlie, faire bloc !

Wolinski

Après Charlie, faire bloc !

Honoré

Après Charlie, faire bloc !

Bernard Maris

Après Charlie, faire bloc !

Encore plus d'actualité... hélas !

Après Charlie, faire bloc !

Ils ont tué CHARLIE HEBDO. Ils ont tué le mot, le dessin, le papier, la langue, l’encre, le crayon,… Charlie était cela. Charlie avait dénoncé les tueurs du mot du papier, du rire…

Mon mot agonise en moi.

Me vient  à l’esprit l’histoire de Kaab ibn al Ashraf,  noble médinois, juif de religion par sa mère, poète qui n’hésitait pas à dénoncer les dérives guerrières de Muhammad, l’annonceur de l’Islam.

 « Le Prophète » commanda son assassinat et promit le paradis au groupe désigné pour la besogne. Le commando  exécuta le poète dans un odieux traquenard en l’an 624. Quelques années plus tard, tous les juifs de Médine furent décimés et tous les poètes furent damnés par le Coran, car ils inventent et  sont la proie des rêves (sourate XXI, verset 5).

 

Said Sayagh

 

 

 

 

 

Amis, Frères, Citoyens du monde, Camarades…

 

Nous ne sommes pas femmes et hommes qu’on résigne

Ne comptez pas surtout que l’on courbe le dos

 

La haine n’a jamais conduit à un digne combat

La gâchette d’une arme n’est pas porteuse de foi

Tueurs assassins d’un jour

vous n’êtes que poussière

ne vous cherchez pas dans un miroir

                       vous n’existez pas

 

Notre cœur saigne mais nous ne baisserons pas la tête

Citoyens du monde,

Humains de la planète terre

Pour moi le seul réseau social qui vaille

C’est vous

C’est toi à mes côtés

Lorsque nous sommes rassemblés 

Sur une place ou

Dans la rue

Pour chanter le même chant qu’Éluard nous a

Transmis sur ses cahiers d’écolier

 

Tueurs assassins d’un jour

vous n’êtes que poussière

                       résidus

rejetés

par les vents nauséabonds de la haine

vous n’existez pas

La haine n’a jamais conduit à un digne combat

Ne laissons pas l’écran d’ordinateur

Masquer les battements de nos cœurs

 

Nous ne sommes pas femmes et hommes qu’on résigne

Ne comptez pas surtout que l’on courbe le dos

 

Qui es-tu Charlie

viens me le dire

tu me reconnaitras bien

           je suis sur la place

                                              

Gérard-André

Mélodiste-compositeur, Auteur, Interprète

 

 

Etais La Sauvin (Yonne) Le lendemain du 7 janvier 2015*

 

Texte envoyé par un animateur de L'Huma-café de Nantes

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Après Charlie, faire bloc !

Quelques dessins dans la presse internationale.

Après Charlie, faire bloc !
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Après Charlie, faire bloc !

Des UNES de la presse internationale

NOUS SOMMES CHARLIE

 

Yahia Belaskri et Anouar Benmalek

Publié dans le journal El Watan (10/01/15)

 

«…Si tu parles, tu meurs/ Si tu te tais, tu meurs/ Alors parle et meurs !», par Tahar Djaout

 

Nous sommes Charlie. Oui nous sommes Charlie, ne vous en déplaise, messieurs les tueurs ! Nous savons que cela vous insupporte car vous haïssez la liberté, toutes les libertés. En particulier l’une des plus fondamentales, la liberté d’expression, celle que vous croyez tuer en assassinant lâchement des dessinateurs de presse qui ont élevé l’irrévérence au firmament du journalisme, en pratiquant l’humour et la dérision.

Vous n’aimez pas la liberté de penser car elle permet le libre arbitre et celui-ci vous est totalement étranger, vous qui prétendez installer les ténèbres dans nos cœurs et nos têtes. Vous n’aimez pas non plus la liberté de conscience, vous qui vous arrogez la folle prétention de diriger nos consciences. Vous n’aimez pas l’amour, ni l’humour bien entendu – l’amour et l’humour vous font peur, vous les suppôts de la haine et du rejet.

Vous n’aimez pas la vie, vous n’en avez aucun respect puisque vous semez la terreur et la mort, brutalement, lâchement. Vous n’aimez rien, au fond, vous n’êtes rien d’autre que des criminels méprisables. Parce que vous êtes incultes et faibles, vous utilisez la violence barbare et l’infamie. Comme nous avons été américains lors de l’attaque contre le World Trade Center, comme nous avons été espagnols lors des attentats de la gare d’Atocha, comme nous avons été algériens lors de la tentative d’extermination de l’intelligence de ce pays, yézidis sur le mont Sinjar, kurdes dans la ville assiégée de Kobané, nous sommes aujourd’hui français…

Nous sommes Charlie. Comme nous avons été Tahar Djaout, Abdelkader Alloula,  Saïd Mekbel, aujourd’hui nous sommes Cabu, Charb, Tignous, Wolinski,  Mustapha Ourad et les autres. Nous sommes Charlie.

 

 

Et Si En Plus Y'A Personne

 

Abderhamane, Martin, David

Et si le ciel était vide

 

Tant de processions, tant de têtes inclinées

Tant de capuchons tant de peur souhaitées

Tant de démagogues de Temples de Synagogues

Tant de mains pressées, de prières empressées

 

Tant d'angélus

Qui résonne

Et si en plus

Il y'a personne

 

Abderhamane, Martin, David

Et si le ciel était vide

 

Il y a tant de torpeurs

De musiques antalgiques

Tant d'anti-douleurs dans ces jolis cantiques

Il y a tant de questions et tant de mystères

Tant de compassions et tant de révolvers

 

Tant d'angélus

Qui résonne

Et si en plus

Il y'a personne

 

Arour hachem, Inch Allah

Are Krishhna, Alléluia

 

Abderhamane, Martin, David

Et si le ciel était vide

 

Si toutes les balles traçantes

Toutes les armes de poing

Toutes les femmes ignorantes

Ces enfants orphelins

Si ces vies qui chavirent

Ces yeux mouillés

Ce n'était que le vieux plaisir

De zigouiller

 

Et l'angélus

Qui résonne

Et si en plus

Il y’ a personne

 

Et l'angélus

Qui résonne

Et si en plus

Il y'a personne

 

Et si en plus y'a personne est une chanson écrite et interprétée par Alain Souchon et composée par Laurent Voulzy sortie en 2005.

 

 

Après Charlie, faire bloc !

Alain Souchon 11 janvier 2015

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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 21:21
Expansion arabe sous Mahomet (I) et les trois premiers califes, Abou Bakr (II), Omar (III) et Uthman (IV)

Expansion arabe sous Mahomet (I) et les trois premiers califes, Abou Bakr (II), Omar (III) et Uthman (IV)

Ce mot m'est apparu dans un article d'un prétendu philosophe qui, dénonçant la mise en parallèle de l'antisémitisme et de l'islamophobie, par notre umpereur, l'accusait de dhimmitude. Ce terme venait donc enrichir les insultes et anathèmes de la secte xénophobe : à côté de la bien pensance ou de la pensée unique, il y avait déjà les idiots utiles, les gauchistes compassionnels dégénérés, les gaucho-islamistes, les collabos des fascistes politico-religieux, sans oublier Baubérot et consorts et j'en passe.

 

Ce néologisme aurait été forgé par une « historienne », juive d'origine égyptienne, expulsée d'Egypte sous le régime nationaliste de Nasser, Giselle Littman, qui a pris pour pseudo Bat Ye'or (fille du Nil).

Cette historienne a une vision assez peu historique de ce qu'étaient les dhimmis sous les empires musulmans et porte des jugements moraux sur la « corruptibilité des chefs chrétiens ». Elle parle du calife Omar (première moitié du VIIe siècle) comme s'il s'agissait du célèbre Mollah Omar, vélomotoriste et compagnon de Ben Laden, notre contemporain.

 

Il suffit de comparer la prise de Jérusalem en 637 par cet Omar, avec celle des croisés en 1099, pour se demander de quel côté étaient les barbares sanguinaires*.

Donc en 637, le général byzantin défenseur de la ville s'étant enfui, le 2e calife, Omar, accorda sa protection aux habitants de la ville. Il garantit la sauvegarde des sites chrétiens et la liberté de culte.

En 1099. « Entrés dans la ville, les pèlerins poursuivaient, massacraient les Sarrasins jusqu'au Temple de Salomon... où il y eut un tel carnage que les nôtres marchaient dans le sang jusqu'aux chevilles ». La ville est pillée, sa population musulmane, juive et de chrétiens grecs, coptes, syriens, arméniens est massacrée.

 

La conversion très rapide de tribus entières à l'Islam, pendant la conquête arabe, est moins due à la force qu'à la simplicité de cette religion qui se résume pour ses adeptes à cinq grandes obligations. L'exemple du Maghreb est net. Si Oqba ibn Nafi, en 682, trempe les sabots de son cheval dans l'océan, croyant avoir atteint l'extrémité de la terre vers l'Ouest, il va se heurter à une résistance menée par la légendaire Kahina. Elle lui coûtera la vie. Mais, à peine la Kahina fut-elle vaincue (701) que des tribus berbères se  convertirent et sous la direction de l'un d'eux, Tarik ibn Zyad, en 711, ont conquis l'Espagne Wisigothe, qui devient Al Andalus. Les conquérants arabes, très peu nombreux, n'ont pu asseoir leurs conquêtes qu'avec le ralliement de larges fractions des populations conquises.

 

Les dhimmis étaient les « gens du livre », les chrétiens (de toute obédience, y compris ceux que la papauté persécutait) et les juifs. Ils étaient soumis à la capitation et à un impôt foncier, mais gardaient leur liberté de culte (sans prosélytisme, bien sûr) et leurs propres tribunaux.  Certes, comme le dit la « fille du Nil », ils furent humiliés, ainsi les abassides et leurs successeurs leur infligèrent des obligations vestimentaires, par exemple. Mais la culture des Juifs séfarades connut son âge d'or pendant l'ère musulmane d'Al-Andalus avec des érudits comme Maïmonide et Ibn Ezra.

 

Quand en 1492, les rois très catholiques, Isabel I de Castille et Ferdinand II d'Aragon s'emparent de la dernière possession musulmane, Grenade, promesse fut faite d'accorder aux musulmans du royaume vaincu un statut calqué sur celui des dhimmis. Dès 1502**, l'engagement fut renié et les musulmans, comme les juifs, n'eurent d'autre choix que l'exil ou la conversion. Les convertis de force, marranes pour les juifs, moriscos pour les musulmans, n'en furent pas quitte pour autant. L'inquisition de Torquemada, tortures aidant, fit avouer à beaucoup d'entre eux la pratique clandestine de leur ancienne religion. En 1535, est instaurée une condition dite de "propreté de sang" (limpieza de sangre) : toute personne désireuse d'accéder à certaines charges importantes en Espagne devait faire la preuve qu'elle ne possédait pas d'ancêtre juif ou musulman depuis au moins quatre générations. Cette condition deviendra une loi qui ne sera abrogée qu'en 1865. Philippe III signe le 22 septembre 1609 le décret d'expulsion de tous les Morisques d'Espagne (véritable déportation vers le magrheb).

 

  Faut-il rappeler aussi que notre république des droits de l'homme, en l'occurrence la troisième, affirmant que «les races supérieures ont le droit et le devoir de civiliser les races inférieures» (J. Ferry), ont dhimmisé les populations colonisées, avec un « droit indigène » qui préservait certes leurs tribunaux propres, mais les mettaient dans un état d'infériorité qu'on peut qualifier, sans exagération, d'humiliation !

 

Donc, comme de coutume - si l'on peut dire - nos pseudos laïcs et vrais xénophobes ont fait preuve d'une totale inculture historique - les dhimmis étant ceux qui, à travers les siècles, ont sauvegardé leurs « communautés » (et oui, c'est le mot qui convient) chrétiennes diverses, et dont l'entente n'est d'ailleurs pas toujours très évangélique, et juives. Les musulmans, contrairement aux catholiques (voire aussi les dragonnades), n'ont pas pratiqué de conversions forcées systématiques à l'encontre des gens du livre.

 

Le néologisme dhimmitude est une totale infamie.  

 

* Oui, je sais, ce disant je porte aussi implicitement un jugement moral, mais d'abord, je ne me prétends pas historien, ensuite, depuis les lois « mémorielles », les condamnations « achroniques » (sans mise en perspective avec l'époque) sont de mise.

 

** Léon l'Africain conte les tribulations de ce Léon-Hassan né à Grenade mais dont la famille a dû fuir à Fès avec la dernière étape de la Reconquista.

 

Al Andalus L'Espagne au temps des califes

Expulsion des Morisques en Espagne

Expulsion des Morisques en Espagne

 

"DHIMMA"

 

Etymologiquement, de la racine DhMM:  mettre sous tutelle,  être sous  protection.

 

 Dans les pays conquis par les musulmans, aux communautés monothéistes refusant de se convertir à l'Islam, et par voie de conséquence, ne faisant pas partie de la "Umma"(la communauté islamique), était imposé le statut de "dhimmi", c'est à dire un ensemble de dispositions humiliantes en contrepartie d’une protection et du droit à pratiquer leurs rites.

 

En gros, ces règles étaient les suivantes:

-Interdiction de porter la main sur le Coran.

-Interdiction de pactiser avec les ennemis de l'Islam.

- interdiction des mariages entre musulmanes et dhimmi (par contre un musulman peut épouser une dhimmi, les enfants doivent être musulmans).

-Interdiction de construire des édifices religieux ou des logements privés en quartier musulman.

-Interdiction d’élever des édifices religieux plus haut que les mosquées.

-Obligation de  port de vêtement distinctif.

-Interdiction de posséder des chevaux.

-Interdiction d'avoir des esclaves.

-Primauté de la Loi coranique dans tous les jugements.

-Irrecevabilité des témoignages des dhimmis contre les musulmans.

-Assujettissement des taxes et impôts particuliers.

- Interdiction d'apprendre l'arabe littéraire.

 

Il faut, toutefois, souligner que le  Judaïsme marocain, par exemple, a joui d'une autonomie culturelle assez large accordée par la plupart des sultans qui se sont succédés au Maroc.

 

D’après Saïd Sayagh

 

Le Pacte d’Omar est la toute première entente entre les autorités musulmanes et les non musulmans des territoires qu’elles occupent. Fondamentalement, c’est l’entente d’un occupant envers un conquis. C’est aussi l’entente d’un commandement sectateur envers une communauté d’ouailles qu’il ne considère ni mécréante (et, conséquemment pas athée non plus), ni idolâtre mais monothéiste comme lui, donc, par principe: tolérable. On y formule des procédés assez classiques d’encadrement coercitif des populations (interdiction du port d’armes et de la chevauchée, imposition de signes distinctifs, taxes spéciales, déférence affichée) mais, en échange, et ce n’est pas mince, les cultes non musulmans sont préservés et protégés par les autorités.

À une époque où la pure et simple mise en esclavage de peuples conquis en rébellion larvée permanente était chose commune, obligatoire presque, on a ici un véritable morceau de mutuelle bravoure dans l’effort de coexistence pacifique.

 

Ne discute avec les gens du livre

que de la manière la plus courtoise.

-Sauf avec ceux d’entre eux qui sont injustes-

 

Dites:

« Nous croyons à ce qui est descendu vers nous

et à ce qui est descendu vers vous.

Notre Dieu qui est votre Dieu est unique

et nous lui sommes soumis».

 

(Le Coran, Sourate 29, L’araignée, verset 46 traduction D. Masson)

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