Sarko ou le cynisme tranquille
Après avoir, d'entrée, fait un cadeau de 15 Milliards d'€uros aux nantis pour l'essentiel (bouclier fiscal, droits de succession) sans aucun bénéfice pour l'économie ; instauré une défiscalisation absurde des heures supplémentaires, sans que leur volume global bouge d'un iota, notre Ouf 1er proclame le 8 avril, à Cahors, que les politiques sociales "ne peuvent continuer ainsi à alimenter le déficit et la dette".
S'en suivra une série de cafouillages sur la cartes famille, le déremboursement des lunettes et maintenant les allocations familialles où la dame Moreno prend les familes pour des c...... en tentant de leur faire croire qu'en faisant 130 ou 150 millions d'économie, les allocs leur distribueraient plus d'argent !
Balkany ou le cynisme bête
Le sieur Balkany* qui, avec sa dame, fait parti des grands amis de l'ado attardé qui nous préside, s'est fait piéger dans un entretien avec un pseudo journaliste d'une pseudo chaîne américaine, étalant une bêtise crasse : la chaîne eût-elle existé, comment pouvait-il croire que tôt ou tard un internaute ne lèverait pas ce lièvre, si j'ose dire, faisandé ?
Quant à l'imbécillité du propos, à vous d'en juger.
* Patrick Balkany illustre bien cette République des copains et des coquins que dénonçait Ponia du temps du Pompidolisme. Il est de la race des Tomasini, Pasqua ou Tiberi. Comme eux d'ailleurs il a maille à partir avec la justice : il avait notamment confondu employés municipaux et larbins à son domicile. Sarko lui voue une amitié sans faille, que l'origine hongroise des deux ne peut suffire à expliquer.