2019 s'annonce bien !
Polnareff avait pris un bon départ, mais Lalanne a fait un retour triomphal !
Menées par une 'perfomeuse' luxembourgeoise, Deborah de Rebortis, de fausses 'Marianne' aux seins doux. Mais nos 'Marianne' n'ont pas trouvé le bon vendeur de cocardes.
Plus rien dans le frigo, mais de quoi picoler (et une "roteuse" qui gagnerait à être mise au frigo vu qu'il y a de la place).
Nous voulons, nous aurons le 13e mois... inch'allah...🙃
Une saisie policière qui tendrait à prouver que le PC est derrière les jaunes !
Vu du coffre d'un pacifique jaune amateur de pétanque.
Un PUR programme, pardon pas pur mais UPR !
Á Fontenay-le-Comte, cité pourtant restée républicaine pendant les guerres de Vendée, nos joyeux jaunes affichent une bannière très peu républicaine. Ont-ils entonné le fameux cantique "Sauvez, sauvez la France au nom du sacré-cœur" ?
Rond-Point JAUNE et antisémitisme...
Gilets jaunes: une mise en scène macabre pour les 41 ans de Macron
"À 17 heures, Seb, co-organisateur de l’événement, saisit un micro et invite ses camarades à s’installer dans les tribunes pour profiter du spectacle. Les gilets jaunes ont décidé de frapper fort, quitte à sauter à pieds joints dans le mauvais goût. Débute alors une pseudo-pièce de théâtre mettant en scène le procès d’Emmanuel Macron. Un mannequin de chiffon à l’effigie du président est déposé sur le banc des accusés.
S’en suivent 15 longues minutes de fausse plaidoirie entre rires gras et appels à la pendaison par un public restreint mais chauffé à blanc. Un procès au terme duquel Emmanuel Macron est condamné à la peine de mort.
Un bourreau masqué et armé d’une hache fait alors son entrée. Il saisit le mannequin, l’allonge et dépose sa tête sur un rondin de bois avant de le décapiter dans une grande giclée de sang. «C’est du vrai sang! Du sang de bœuf», raconte fièrement David, également co-organisateur.
La suite est du même acabit. Le mannequin est déposé sur un amas de palettes orné d’un gâteau d’anniversaire en carton. Les gilets jaunes mettent alors le feu à l’ensemble et entament une danse en rond autour du brasier sur fond de «Joyeux Anniversaire» chanté par Patrick Sébastien.
Les gilets jaunes sont ravis de la prestation et félicitent David qui ne cache pas son air satisfait. «Oui, notre objectif est de choquer. Jusque-là, nous avons été entendus mais pas écoutés. Maintenant, on doit taper fort.»"
Bien sûr il ne faut pas confondre l'ensemble des gilets jaunes avec ces extrémistes... est-ce si sûr ?
Á relire :
http://www.deblog-notes.com/2018/12/gilets.html
A lire :
Scène antisémite dans le métro
Un peu après 23h, nous sommes montés dans la rame à Réaumur-Sébastopol. A l'intérieur, trois gilets jaunes, un peu éméchés, hurlant : "Macron dé-mis-sion !" Il s'agissait d'hommes d'une quarantaine d'années, plutôt bon chic bon genre, qui rentraient de la manifestation. Dans la rame, on n'entendait qu'eux. Puis la situation est partie en vrille : ils ont commencé à faire des quenelles, des quenelles "de 40". Une petite vieille, cheveux grisonnants, le dos voûté, s'est levée. Elle est allée vers eux et leur a demandé d'arrêter (touittes d'un journaliste présent par hasard qui permet de resituer le témoignage de la courageuse dame)
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